Le blogue de Maxime Laperle

Si loin ailleurs, il me reste une heure, Une heure dans l'air conditionnée loin de la grande chaleur. Une heure loin des mal-aimés d'un haut-patronnat. Ne me cherchant pas. Je suis à une heure loin de me faire bourrer le crâne. Et dans ma paresse, je crâne. J'ai des milliards de travaux qui se planifient Mon partenaire de tournage est en retard. Sur moi-même, pour tout, moi-seul je me fie. Avant que toutes mes notes finissent dans le lard. Le silence est craquelé par le bruit des casiers. Et finalement ma concentration reste affilé comme de rasoir. Il me reste encore une heure avant mon cours. C'est bien de ma faute, si je ne me rappelle de rien. En imprégnant mon éducation, d'une amnésie sélective. La même amnésie qui me nargue, Pour mémoriser les paroles des chansons d'autres auteurs. Pour une autre étude, je me tue à mémoriser Y'as des matins de Marjo Pour mieux chanter. Complexe les paroles quand elle ne vient pas de nous, La mémo

 Genre musical destiné : Hard-Rock/RythmnAndBlues.  Date : Le 25 juin 2011  M.L Refrain Économise ta soif; Ménage ta peine de bête blessé; Aucune femme et aucun être de chair rouge, Ne me vaut; définitivement, Et si je m'en vais, extirpé d'une gente féminine. Comme tu ne voudrais plus rien de moi, Ne voulant plus me laisser coi. Je me retrouve sous de peines meilleures et chaudes. Les vers Je m'écoeure de ces merdeuses sans coeur, Lorsque je retrouve mes ailleurs de ma cité de vice. L'un de mes collègues étouffe en gorgées, sa liqueur; Avachi sur mon canapé, farci de punaises et de lices. Mon père fit de lui-même, le videur. Sous la lune, où les putes de Montréal Deviennent des vampires, pullulant autour de moi Recherchant la douleur comme le sang. Et mon instinct s'affole. Je contemple mon âme de très bas; D'où les vautours verront pour l'abat. Refrain Avant les femmes, il n'en avait plus rien. À la suite, il rester

Et je n'avais pas composé de chansons, en pas mal longtemps, si ce n'était du fait que je ne suis pas musicien et je ne sais pas composer, mais du tout. C'est ma première chanson, à la suite d'avoir écrit 122 poésies non-rimés et rimés. Mais, je crois bien qu'elle est écrite dans toutes les règles de l'art. Alors, si un musicien tiendrait à le rendre en musique comme paroles, bien il pourra m'envoyer un courriel, mon adresse est dans l'onglet "A propos de moi", afin de me faire savoir qu'il la fait et que je puisse en juger par moi-même. Alors sans plus attendre : "Le Demi-Dieu Littéraire". Pour spécifier le genre, c'est du Rock Hard, et aussi du RythmnN'Blues, ou bien un mixte des deux. Refrain Je me dois d'écrire des hits comme je respire Afin de ne pas finir de la tête, ou quelconque hasbeen Pour plus je forge le beau, de par mon pire. En affrontant mes ennemis de condisciples , des never-was Avant que je

Il n’y a pas à dire de plus pour en rajouter, c’est un film absolument inouï, et on ne pourrait jamais en redire, puisque c’est si inouï que cela, on ne peut vraiment en rajouter davantage. Et c’est presque totalement inédit comme œuvre, tellement qu’elle pouvait être très parfaite et en même temps tellement bien portraiturée, que je reste sans voix face à ce film. Au départ, je voulais aller le voir par simple curiosité, afin de connaître par moi-même, quels seraient les talents scénaristiques de Nathalie Petrowski, juste à voir si elle pouvait en avoir ou pas. Le résultat fut carrément le contraire, et Petrowski a probablement scénarisé un film qui la conduira véritablement vers une nomination pour le Jutra du Meilleur Scénario pour un Gala prochainement. Le plus fou dans tout ceci, est que c’est également le deuxième film qu’elle a scénarisé, en prenant en considération de Maman Last Call , une adaptation de son propre livre, réalisé par François Bouvier. Mario St-Amand peut déjà to

Tancrède, dans sa cour, est complètement assoupit dans sa chaise longue dans une belle journée ensoleillée du 24 juin. Tout comme Marco, Tancrède est habillé pour l'été, avec un t-shirt et des shorts kaki, et coiffé d'un énorme chapeau de paille. Marco Thériault, l'un des grands amis de Tancrède, est lui aussi assoupi dans une énorme chaise d'été, juste au côté droit de Tancrède. Ils prennent un gros bain de bronzage. MARCO: Pis mon Tank, t'aimes tu ça le congé férié de la St-Jean. TANCRÈDE: Quand j'étais au secondaire, c'était même pas un congé férié. MARCO: Une chance que tout a changé. TANCRÈDE: M'ouais, en gros, la St-Jean, ça me laisse pas mal froid. C'est rien d'autre qu'une grosse fête d'ivrognes et de la Labatt Bleue. Ça se saoule comme les Irlandais, à n'en plus finir avec la bière. MARCO( enquiesçant ): Toi par contre, vas-tu te saoûler toute la nuite ? TANCRÈDE: À vrai dire, il va plutôt que je m'injecte un Anuso

Tancrède et le Docteur ont essayé tant bien que mal de sortir du local, à vue d’œil de l'immense foule libidineuse qui leur barrait et encombrait le chemin. Tout ce que l'on voyait, était un énorme sphincter nu d'élèves qui grouillait dans le corridor, et cela le ressemblait plus ou moins concrètement. Tancrède et le Docteur Rhabot, s'évertuaient de se rendre aux escaliers de l'établissement. Lorsque l'on discutait d'une orgie, bien c'était vraiment cela ! Et c'est quelque chose qui réduirait à la honte, toutes les orgies romaines, jadis légendaires, et témoignées dans les Annales historiques de Tacite. Bien non, si vous voulez ce que c'était vraiment qu'une orgie, alors il fallait être dans ce collège ci pour le connaître, sinon on aurait manqué vraiment quelque chose. C'est tellement indescriptible comme orgie, que c'est absolument orgiaque, donc je n'ai rien envie de vous dire, afin de laisser travailler votre lugubre imagin

En ce Jeudi scabreux de chaleur humide et de soleil, je devais me taper l'une des plus lourdes tâches d'infortune, de celle de vider le garage avec ma blonde. Dieu seul sait quel genre d'irréversible capharnaüm que me réserve ce garage, puisqu'il venait de se faire remplir par les possessions du père décédé de l'ami de mon frère. Soit dit en passant, nous avions donné les clés du garage à mon frère, que l'on nommera Steve ici, pour qu'il puisse s'en occuper à son bon gré, et cela résulta en une grossière erreur. Car le garage fut enfourbé de déchets et de meubles les plus hétéroclites que l'on ne pouvait s'imaginer, et encore plus pire, il fallait commencer quelque part, et cela n'était point une mince affaire. Il y avait de tout: une machine à laver, une sécheuse à culbute, une armoire, un divan rongé par les punaises probablement, quatre matelas, une table qui se déploie en deux, des grandes caisses bleus pour le déménagement, des immense

Et en faisant une parfaite scission dans ma websérie propre de Tancrède Bâtard , j'en profite en ce moment pour vous exprimer ma purge contre les maisons d'édition, et de publication ou autre. Je trouve personnellement que cela fait un peu changement de tout, et également je perçois que la vraie raison dont on lit mon blogue, serait pour mes critiques de cinéma et mes chroniques et non pour ma websérie en soi. N'empêche, il devient assez dur de trouver un humour loufoque et disjoncté, pour que je puisse le vomir dans la conception de mes épisodes subséquentes. Oui, les lecteurs, croyez-moi donc sur parole, essayer de concevoir cet humour est difficile, alors il faut avoir l'humeur au bon endroit, afin de mieux y réfléchir de façon créative. De toute manière, mon premier grief que j'éprouve envers les maisons d'édition, strictement québécoises, est qu'ils ne sont plus intéresser à publier des auteurs québécois. Lorsque je dis les auteurs québécois, je di

En franchissant le 15e étage, à bras les membres et le corps, Tancrède et le professeur Rhabot ont parcourut l'étage afin de se rendre au bureau de ce dernier. Ce ne fut pas vraiment une mince affaire, parce qu'il devait passer au travers d'un amas de jeunes gens dans la vingtaine qui riaient à la suffocation. TANCRÈDE: Ça va tu durer longtemps tout c'te grosse crise là de rires parmi tout le monde, avec votre hypnose là tsé. ELMER( conciliant ): Je vous assure que tout ceci, sera terminé jusque vers la fin de la journée. TANCRÈDE: Bon tant mieux, parce que ça commence vraiment à faire dur. ELMER: Oui, je vous comprends. Tancrède et le professeur Rhabot prirent accès au bureau du professeur. Le professeur s'assit à son bureau, tandis que Tancrède fut assis à l'une des chaises. ELMER: Depuis combien de temps, auriez-vous vécu des phénomènes paranormaux, comme la psychokinésie par exemple ? TANCRÈDE: Depuis deux ou trois jours pratiquement. ELMER: Ah ou

Tancrède se retrouve désormais dans une espèce de grand établissement, dont pour nous tous, cet édifice se nomme évidemment un collège. Ce fut le Cégep de Montrose. Tancrède pénétra avec précaution et subtilité le hall d'entrée. Et ce collège-ci fut une maison qui rendait fou, puisque tout le monde avait le fou rire avec précipitation comme si les élèves et le personnel avaient tous succombé au "gaz hilarant". Tout le monde explosait de rire: les élèves, les professeurs, les secrétaires du registrariat, le concierge, ainsi que les gardes de sécurité. Plus personne ne pouvait contrôler le déhanchement de leurs rires. Tancrède aperçut ceci avec un curieux ressentiment d'étrangeté. Personne était capable de s'arrêter de rire, mais Tancrède quant à lui, semblait immune à ce "gaz", intoxiquant tout le monde. Finalement, il était tombé sur l'un des professeurs: TANCRÈDE( nerveux ): Okay ( Il lâche un regard circulaire énorme ) Pourriez vous me renseigner

Tancrède était presque en plein cœur du centre-ville, à côté du Métro Papineau, et vers le côté même de la grande tour de Radio-Canada. Tancrède déambulait juste à côté du pont Jacques-Cartier, et en soi, se dirigeait vers une épicerie Métro , située tout autant non loin de la même station de Métro. Tancrède scrutait des yeux le pont Jacques-Cartier, par pure caprice personnel, cherchant assez cyniquement s'il y aurait un grand nombre de personnes sur le pont vers cette heure. Et finalement il y avait une seule personne, un homme dans la trentaine, qui commençait lentement à gravir la barrière haute anti-suicide, bâtie spécifiquement pour le pont. L'homme était sous l'influence de nombreux narcotiques et de nombreuses drogues dures, tout autant que de puissants hallucinogènes, le soumettant encore à l'état des paradis artificiels. Gelé, il se croyait momentanément invincible. Il fut habillé de haillons dégarnis et de loques, laissant croire à sa pauvre condition insol

Tancrède va finalement à l'encontre de sa soeur, tout en laissant à l'écart Charline qui s'amuse dans le parc en courant comme une petite fille au printemps, prenant plaisir à des riens. TANCRÈDE: Tu voulais me voir ? KARINE( récalcitrante ): M'ouais... Bien en gros, j'aurais un petit service à te demander. TANCRÈDE: Shoot! Laquelle ? KARINE: Pour ce soir, je voudrais que tu t'occupes de Charline. TANCRÈDE: Ah ça! No can do . C'est Vendredi ce soir, puis je sais vraiment pas quoi faire pour m'occuper d'une fille de son âge. KARINE:Qu'est-ce que t'as de si important à faire pour à soir ? TANCRÈDE: Ben, entre autre, j'écoute mes vieux VHS de vieux cartoons des années 80. Karine prend quelques distances de son frère, et le contemple comme s'il était un extraterrestre. KARINE: Comment ça se fait qu'à ton âge, t'écoutes encore des dessins animés ? TANCREDE: Comment ça se fait que toé, t'écoutes encore des reprises

Tancrède est en compagnie de sa nièce de 9 ans dans le Parc Lafontaine. Il y a beaucoup de badauds autour du parc en ce moment, au beau milieu de ce jour de Juin. Tancrède et Charline s'assoient sur la pelouse du parc et commencent tranquillement la conversation. CHARLINE: Comment ça se fait que toi et matante, vous vous êtes divorcés ? TANCRÈDE: Parce que moi et ma tante on avait des grosses différences qui ne pouvaient jamais être reconciliées. CHARLINE: Comme quoi ? TANCRÈDE: À ton âge, ce serait toujours mieux que tu saches rien de ces choses là. CHARLINE: Pourquoi ? TANCRÈDE: Parce que c'est pas à ct'âge là que l'on comprend ça le divorce. CHARLINE: Puis après, qu'est-ce que ça peut faire ? TANCRÈDE: T'aurais pas autre chose à me poser comme question à la place ? CHARLINE: Okay, pourquoi t'es encore pilote ? TANCRÈDE: Pourquoi tu me poses ça ? T'aimes pas vraiment ça les pilotes ? CHARLINE: J'ai jamais dit ça. TANCRÈDE(rires): Ben t

Raymonde est une coiffeuse attentionnée qui prend un énorme soin de ses clients, du haut de ses cinq pieds de saindoux. Elle est une femme énormément belle, tout autant qu'elle soit quelque peu boulotte et glouttonne pour rien. Comme presque toutes les coiffeuses, elle a un foutu caractère, tout en reflétant ce dit caractère dans l'ampleur de ses seins protubérants, puisque lorsqu'elle se choque, ses énormes seins aussi gros que des melons, se mettent à remuer de haut en bas, de bas en haut, et de la gauche vers la droite. Bref, on pouvait dire que Raymonde était définitivement du caractère, et du poids qui s'évertuait à afficher le caractère. Ouais, il y a véritablement une Raymonde, qui s'occupe du salon de coiffure "Chez Raymonde", en compagnie de deux autres coiffeuses qui jouent ses propres subalternes. Elle était une femme très voluptueuse. Tancrède est absolument mal rasé, et arborait en ce moment des longs cheveux crépus, et il rentre dans la b

Tancrède et Charles regardent tour à tour le foreur situé dans la banquette arrière. "Êtes-vous sûr que vous avez rien de trop grave ? fit Tancrède, parce qu'auparavant, ç'avait de l'air super grave, vous avez subi une explosion là tsé. -Penses pas vraiment que ce soit gros, fit finalement le foreur, en prenant une bonne respiration, parce que c'est plus mon asthme qui est dangereux au lieu de l'explosion en tant que tel. -Pour rajouter, je trouve pas que ce soit sécuritaire finalement fumer quelque chose à côté d'un puits de gaz de schiste. -Pourtant, l'un de mes contremaîtres m'a pourtant dit qu'il avait aucun danger, fit le foreur. -Bien c'est officiel, vos contremaîtres sont des imbéciles, fit Charles. -Par simple curiosité, est-ce que c'était André Collé l'un de vos contremaîtres, fit pour finir Tancrède. -Bien non ! Il fait autre chose Collé, fit le foreur." Tancrède et Charles se retrouvent devant la salle d'

Nous sommes dans une chouette journée d'été, au début de Juin à son premier jour. Tancrède recevait de la visite, et il se devait d'effectuer un resplendissant barbecue à l'extérieur, comme il n'existe presque pas, avec son tout nouveau barbecue fonctionnant au gaz propane. Non seulement il reçoit pour un gros dîner sur l'herbe, son frère Charles Bâtard, mais également une pléthore de célébrités. Entre autre, il y a des invités de marque venant déguster ses hambourgeois et ses immenses saucisses géantes, cuites d'un grand méticuleux et d'un grand savoir-faire mâle. Tancrède est un génie de la friture nordique des grands espaces. Parmi les invités de marque, il y avait Cornelius de la série de films culte La planète des Singes , Kathleen Wargood, Marjo, Marie-Lise Pilote,Daniel Hétu,Daniel Lavoie, Lorne Michaels, et aussi Brigitte Nielsen. Enfin bref, le party de Tancrède était composé plus particulièrement d'ancienne vedettes internationales, parce que