Les passions infantiles - 2 - Deuxième texte de chanson(sans musique)- Peine d'amour
Genre musical destiné: Hard-Rock/RythmnAndBlues.
Date: Le 25 juin 2011
M.L
Refrain
Économise ta soif;
Ménage ta peine de bête blessé;
Aucune femme et aucun être de chair rouge,
Ne me vaut; définitivement,
Et si je m'en vais,
extirpé d'une gente féminine.
Comme tu ne voudrais plus rien de moi,
Ne voulant plus me laisser coi.
Je me retrouve sous de peines meilleures et chaudes.
Les vers
Je m'écoeure de ces merdeuses sans coeur,
Lorsque je retrouve mes ailleurs
de ma cité de vice.
L'un de mes collègues étouffe en gorgées,
sa liqueur;
Avachi sur mon canapé,
farci de punaises et de lices.
Mon père fit de lui-même, le videur.
Sous la lune, où les putes de Montréal
Deviennent des vampires, pullulant autour de moi
Recherchant la douleur comme le sang.
Et mon instinct s'affole.
Je contemple mon âme de très bas;
D'où les vautours verront pour l'abat.
Refrain
Avant les femmes, il n'en avait plus rien.
À la suite, il restera une vacuité immense encore.
Je retrouve de ma solitude, mon or.
Dorénavant, vous avez brisé les liens.
Le cellulaire ne sonne jamais,
Et c'est ma paix de l'Autre.
Je la rends très bien.
Or je me fais mauvais apôtre,
Règlant à mi-chemin mes problèmes
Je serais prosterné à ses "alors" et ses "mais".
Refrain
Et sous mon édredon aveugle,
Je retourne ankylosé de fatigue,
Où quelque part,
Je change le visage de mes espérances.
Refrain
Date: Le 25 juin 2011
M.L
Refrain
Économise ta soif;
Ménage ta peine de bête blessé;
Aucune femme et aucun être de chair rouge,
Ne me vaut; définitivement,
Et si je m'en vais,
extirpé d'une gente féminine.
Comme tu ne voudrais plus rien de moi,
Ne voulant plus me laisser coi.
Je me retrouve sous de peines meilleures et chaudes.
Les vers
Je m'écoeure de ces merdeuses sans coeur,
Lorsque je retrouve mes ailleurs
de ma cité de vice.
L'un de mes collègues étouffe en gorgées,
sa liqueur;
Avachi sur mon canapé,
farci de punaises et de lices.
Mon père fit de lui-même, le videur.
Sous la lune, où les putes de Montréal
Deviennent des vampires, pullulant autour de moi
Recherchant la douleur comme le sang.
Et mon instinct s'affole.
Je contemple mon âme de très bas;
D'où les vautours verront pour l'abat.
Refrain
Avant les femmes, il n'en avait plus rien.
À la suite, il restera une vacuité immense encore.
Je retrouve de ma solitude, mon or.
Dorénavant, vous avez brisé les liens.
Le cellulaire ne sonne jamais,
Et c'est ma paix de l'Autre.
Je la rends très bien.
Or je me fais mauvais apôtre,
Règlant à mi-chemin mes problèmes
Je serais prosterné à ses "alors" et ses "mais".
Refrain
Et sous mon édredon aveugle,
Je retourne ankylosé de fatigue,
Où quelque part,
Je change le visage de mes espérances.
Refrain
Commentaires
Publier un commentaire