Le blogue de Maxime Laperle

Nicola-Franck Vachon Je ne savais trop quoi m’attendre de ce film, puisque Ésimésac était à vrai dire mon premier Pellerin, et Fred Pellerin est un artiste grandement encensé de partout au Québec, non seulement de son village évident de Ste-Élie-de-Caxton, que j’ai finalement voulu savourer de son talent de conteur, par conséquent, j’ai choisi de m’enivrer dans l’univers de Fred Pellerin, dont son dernier film, Ésimésac. J’ai payé mon admission, observant du coin de l’œil que le pommeau de mon parapluie égouttait son eau, recueilli sous la pluie, sur le comptoir de la billetterie. Il sera sans l’ombre d’un doute, mon premier et mon dernier Fred Pellerin, car je ne ressentirai plus aucune envie de connaître davantage son «univers», tellement que l’écriture nous paraît simpliste et paresseuse pour un deuxième long-métrage. Dans toute l’entreprise de construire son univers folklorique à partir du néant, l’auteur veut d’une certaine façon poursuivre l’œuvre des grands auteurs du te...

As few people would ever know about the works of Victor Lévy-Beaulieu, well this movie will probably remind some of you of his homespun novels about the toilers of the soil : L'Héritage , and Bouscotte . And when I mean by toilers of the soil, it's actually farmers and their farm life. It's a whole life of turmoil that's being developped for us, taking the center stage, in this short parable of the country side, portraying it in sharp and stark intensity. The screenwriting process seemed rather bizarre, although it does reflect a plot that could make you think about a novel of Victor Lévy-Beaulieu. Farmers who are a couple Jean and Marie, played by Pascale Bussières and Luc Picard, live the day-to-day trials on a milking farm. They have an only son, who at often times, is very irascible and detestable Simon, portrayed by a young Gabriel Maillé. It's a tragedy, in the event of the loss of the father, when a tractor crushes his chest, pinning him to the ground ...