Réponse à l’article d’Émilie Dubreuil « Sommes nous que six dans la cité ? »
Pour une première fois, ceci est un blogue qui sera malgré tout une riposte à l’article de Dubreuil, en ce qui concerne s’il y a effectivement rien que six critiques à Montréal. Ceci est l’article de Dubreuil , et maintenant outrepassons à ma réponse, si on le veut bien. Il est fort vrai que l’on peut tout aussi bien en avoir assez des mêmes critiques, car à Montréal, tout comme au Québec en général, j’ai l’impression que ce sont toujours les mêmes qui font de la chronique culturelle. Certes, en tant que journaliste, il faut savoir se démarquer du lot, que ce soit pour n’importe quelle raison d’ambition. Et la raison d’ambition serait ceci : le journalisme à Montréal agit comme une vile maîtresse, tout comme les arts. Le journalisme, c’est sélectif dans la mesure que ça choisit les personnes dont il en façonnera les carrières. Des futurs journalistes peuvent travailler d’arrache-pied, mais ils n’auront pas nécessairement une grande reconnaissance de leur travail. Alors, la reconnais...