Les Mésaventures de Tancrède Bâtard - Épisode 4 - Tancrède au Salon de Coiffure Unisexe "Chez Raymonde"
Raymonde est une coiffeuse attentionnée qui prend un énorme soin de ses clients, du haut de ses cinq pieds de saindoux. Elle est une femme énormément belle, tout autant qu'elle soit quelque peu boulotte et glouttonne pour rien. Comme presque toutes les coiffeuses, elle a un foutu caractère, tout en reflétant ce dit caractère dans l'ampleur de ses seins protubérants, puisque lorsqu'elle se choque, ses énormes seins aussi gros que des melons, se mettent à remuer de haut en bas, de bas en haut, et de la gauche vers la droite. Bref, on pouvait dire que Raymonde était définitivement du caractère, et du poids qui s'évertuait à afficher le caractère.
Ouais, il y a véritablement une Raymonde, qui s'occupe du salon de coiffure "Chez Raymonde", en compagnie de deux autres coiffeuses qui jouent ses propres subalternes. Elle était une femme très voluptueuse.
Tancrède est absolument mal rasé, et arborait en ce moment des longs cheveux crépus, et il rentre dans la boutique de coiffure avec la subtilité d'un éléphant dans un jeu de quilles. Lorsqu'il se présentait à Raymonde, cette dernière le reçut d'une moue de désagrément.
TANCRÈDE: Bon vu que t'étais le seul salon disponible, je me suis dit que je pouvais rentrer ici et que toi tu pouvais me faire finalement une permanente.
RAYMONDE: J'étais le seul salon disponible ? J'te crois pas.
TANCRÈDE: Non, en fait, j'ai mes propres raisons particulìères pour me venir faire couper les cheveux ici, mais je ne peux vraiment te dire ça: secret de mâle.
RAYMONDE: Oh mon gros je les devine assez facilement tes raisons.
TANCRÈDE: Bon okay, mais il ne faudrait pas que tu les dises à personne, sinon ça enleverait beaucoup de mon mystique là tsé.
RAYMONDE: Ouais, okay...
Tancrède s'assoit sur l'un des grands fauteuils de coiffure, s'apprêtant à ce que sa tête devienne l'argile soyeux pour une artiste capillaire qui lui sculptera les empâtements de vermeille dedans.
RAYMONDE(renchérissante): Pis mon grand, comment tu la veux ta tête ?
TANCRÈDE: Ben belle tsé...
RAYMONDE: Ben ça, on le comprend. Mais comment tu la voudrais belle, quel style tu voudrais ?
TANCRÈDE: On va dire actuel, on se cassera pas la tête pour rien, je fais déjà ça à ma job.
RAYMONDE: Bon okay.
Et Raymonde s'effectue à la coiffure de Tancrède. Mais depuis un certain temps, elle commençait à devenir très maladroite pour son âge, et débutait ses premières erreurs de sa carrière, sur la tête de Tancrède. Depuis jadis, elle ne faisait plus ses erreurs depuis sa formation dans l'école des barbiers, et Raymonde était devenu une barbière réputée. Mais maintenant Raymonde faisait des trous de scalp sur Tancrède sans même s'en apercevoir, et Raymonde restait absolument de bonne foi.
Tancrède ne sentait pas que la coupe de cheveux prendrait un temps immense, mais celle-ci oui, il ne savait plus trop qu'elle en serait la raison.
TANCRÈDE(nerveux):T'as tu bientôt fini Raymonde ?
RAYMONDE: Non dans plus très longtemps.
TANCRÈDE: J'espère stique...
Par la suite, Tancrède lut un magazine, pendant qu'il se faisait encore couper les cheveux par Raymonde.
Une demie-heure passait, et toutes les autres coiffeuses regardaient Raymonde tour à tour, pendant qu'elles libéraient les clients de leurs besoins, durant un lapse d'une quinzaine de minutes. Peut-être que Raymonde commençait à perdre sa touche, cela on n'en savait trop rien, même pas les coiffeuses. Parce que c'était la norme, on libérait un client pendant lui avoir fait sa coupe de cheveux durant 15 minutes.
Autrement, l'une des deux coiffeuses s'avançaient vers Raymonde et lui dit parcimonieusement:
GENEVIÈVE: Il lui restera plus beaucoup de cheveux. Il voulait se faire couper "rase-bol" ou quoi ?
RAYMONDE(discrète): Bon en gros je le sais plus.
GENEVIÈVE: Bon je vais le finir..
RAYMONDE(rouspétant): Non, laisse j'ai la situation bien en main là !
GENEVIÈVE: Non, t'as pas trop l'air de l'avoir.
RAYMONDE: Lâche moi donc,(gueulant) et va-t'en, sprit de marde! (reprenant son calme) Je vais le finir le client.
TANCRÈDE: Oh, j'attends juste ça moi.
Pourtant, Raymonde s'enhardit à la tâche et finit de lui couper les cheveux lui laissant encore des trous épais dans la chevelure.
TANCRÈDE: Bon okay, on va voir ça.
RAYMONDE: J'ai fait ce que j'ai pu.
TANCRÈDE: On le sait tsé.
Tancrède se regarde dans le miroir et possède finalement un mohawk sur le coco. Un très ancien style, très amérindien si je peux dire. Or, Tancrède n'est pas complètement choqué, et commence à prendre goût de son mohawk, malgré que c'est un style qu'il n'a jamais lui-même essayé.
TANCRÈDE: Pas si pire, pas si pire que ça après tout.
GENEVIÈVE: On n'en doutais pas vraiment.
TANCRÈDE: Ben moi non plus.
Tancrède sort du salon de coiffure, pendant que Raymonde est assise sur l'un des grands fauteuils en train de fondre en larmes sur un échec qui valait bien tout de même le coup, parce que c'est Tancrède après tout.
Ses assistantes ne font absolument rien pour la réconforter, au contraire elles l'a traînent vers l'arrière pour ne pas qu'elle puisse pleurer devant les clients et en s'exposant aux côtés des vitrines.
FIN
-Le 7 juin 2011
Ouais, il y a véritablement une Raymonde, qui s'occupe du salon de coiffure "Chez Raymonde", en compagnie de deux autres coiffeuses qui jouent ses propres subalternes. Elle était une femme très voluptueuse.
Tancrède est absolument mal rasé, et arborait en ce moment des longs cheveux crépus, et il rentre dans la boutique de coiffure avec la subtilité d'un éléphant dans un jeu de quilles. Lorsqu'il se présentait à Raymonde, cette dernière le reçut d'une moue de désagrément.
TANCRÈDE: Bon vu que t'étais le seul salon disponible, je me suis dit que je pouvais rentrer ici et que toi tu pouvais me faire finalement une permanente.
RAYMONDE: J'étais le seul salon disponible ? J'te crois pas.
TANCRÈDE: Non, en fait, j'ai mes propres raisons particulìères pour me venir faire couper les cheveux ici, mais je ne peux vraiment te dire ça: secret de mâle.
RAYMONDE: Oh mon gros je les devine assez facilement tes raisons.
TANCRÈDE: Bon okay, mais il ne faudrait pas que tu les dises à personne, sinon ça enleverait beaucoup de mon mystique là tsé.
RAYMONDE: Ouais, okay...
Tancrède s'assoit sur l'un des grands fauteuils de coiffure, s'apprêtant à ce que sa tête devienne l'argile soyeux pour une artiste capillaire qui lui sculptera les empâtements de vermeille dedans.
RAYMONDE(renchérissante): Pis mon grand, comment tu la veux ta tête ?
TANCRÈDE: Ben belle tsé...
RAYMONDE: Ben ça, on le comprend. Mais comment tu la voudrais belle, quel style tu voudrais ?
TANCRÈDE: On va dire actuel, on se cassera pas la tête pour rien, je fais déjà ça à ma job.
RAYMONDE: Bon okay.
Et Raymonde s'effectue à la coiffure de Tancrède. Mais depuis un certain temps, elle commençait à devenir très maladroite pour son âge, et débutait ses premières erreurs de sa carrière, sur la tête de Tancrède. Depuis jadis, elle ne faisait plus ses erreurs depuis sa formation dans l'école des barbiers, et Raymonde était devenu une barbière réputée. Mais maintenant Raymonde faisait des trous de scalp sur Tancrède sans même s'en apercevoir, et Raymonde restait absolument de bonne foi.
Tancrède ne sentait pas que la coupe de cheveux prendrait un temps immense, mais celle-ci oui, il ne savait plus trop qu'elle en serait la raison.
TANCRÈDE(nerveux):T'as tu bientôt fini Raymonde ?
RAYMONDE: Non dans plus très longtemps.
TANCRÈDE: J'espère stique...
Par la suite, Tancrède lut un magazine, pendant qu'il se faisait encore couper les cheveux par Raymonde.
Une demie-heure passait, et toutes les autres coiffeuses regardaient Raymonde tour à tour, pendant qu'elles libéraient les clients de leurs besoins, durant un lapse d'une quinzaine de minutes. Peut-être que Raymonde commençait à perdre sa touche, cela on n'en savait trop rien, même pas les coiffeuses. Parce que c'était la norme, on libérait un client pendant lui avoir fait sa coupe de cheveux durant 15 minutes.
Autrement, l'une des deux coiffeuses s'avançaient vers Raymonde et lui dit parcimonieusement:
GENEVIÈVE: Il lui restera plus beaucoup de cheveux. Il voulait se faire couper "rase-bol" ou quoi ?
RAYMONDE(discrète): Bon en gros je le sais plus.
GENEVIÈVE: Bon je vais le finir..
RAYMONDE(rouspétant): Non, laisse j'ai la situation bien en main là !
GENEVIÈVE: Non, t'as pas trop l'air de l'avoir.
RAYMONDE: Lâche moi donc,(gueulant) et va-t'en, sprit de marde! (reprenant son calme) Je vais le finir le client.
TANCRÈDE: Oh, j'attends juste ça moi.
Pourtant, Raymonde s'enhardit à la tâche et finit de lui couper les cheveux lui laissant encore des trous épais dans la chevelure.
TANCRÈDE: Bon okay, on va voir ça.
RAYMONDE: J'ai fait ce que j'ai pu.
TANCRÈDE: On le sait tsé.
Tancrède se regarde dans le miroir et possède finalement un mohawk sur le coco. Un très ancien style, très amérindien si je peux dire. Or, Tancrède n'est pas complètement choqué, et commence à prendre goût de son mohawk, malgré que c'est un style qu'il n'a jamais lui-même essayé.
TANCRÈDE: Pas si pire, pas si pire que ça après tout.
GENEVIÈVE: On n'en doutais pas vraiment.
TANCRÈDE: Ben moi non plus.
Tancrède sort du salon de coiffure, pendant que Raymonde est assise sur l'un des grands fauteuils en train de fondre en larmes sur un échec qui valait bien tout de même le coup, parce que c'est Tancrède après tout.
Ses assistantes ne font absolument rien pour la réconforter, au contraire elles l'a traînent vers l'arrière pour ne pas qu'elle puisse pleurer devant les clients et en s'exposant aux côtés des vitrines.
FIN
-Le 7 juin 2011
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