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Affichage des messages du 2011

Spielberg avec Hergé, fait du Spielberg : rien de plus

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Bien oui, à la suite d’avoir été dans une assez longue file pour voir ce dernier long-métrage de Spielberg, on s’imaginait probablement qu’il ne fallait pas hausser davantage ses espoirs pour rien. Étant donné que ce fut un film qui reposait uniquement sur la technique de l’animation 3-D, et plus particulièrement en Motion Capture , on constate dans toute la merveille, de toute la beauté plastique de cet animation qui est purement parfaite, et on se sert des acteurs principaux pour mimer les visages et les corps. C’est tout ce qu’il y a dans le jeu au moment même de la pantomime. Il a fallu produire un film d’animation photo-réaliste, puisque c’est cette seule manière que l’on rend complètement justice à l’univers d’Hergé. Et lorsque l’on fait de l’animation photo-réaliste, on peut se permettre n’importe quelle folie de cascade, puisque toutes les cascades dans le film, sont exagérés en étant aux bords de l’impossible. C’est le propre du cinéma d’animation, rendre l’impossible possible

Bande Annonce des "Three Stooges"(2012) - Premières Impressions

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Quelquefois, je me demande qu'est-ce que les Trois Stooges véritables, Moe Howard, Larry Fine et Curly Howard, auraient pensé, lorsqu'ils auraient su que les frères Farrelly allaient faire un film au sujet d'eux ? Probablement que leur enthousiasme serait sans limite, puisqu'ils adoraient se faire connaître, même pour une nouvelle génération d'auditoire. Bien certainement, les Trois Stooges faisaient de la comédie comme une véritable et souveraine passion, et lorsque l'on regarde la bande annonce, c'est assez tangible et palpable cette passion. Les trois acteurs, Will Sasso, Sean Hayes et Chris Diamantopoulos, s'amusent à incarner les Trois Stooges dans une joie de vivre complètement exubérante. Les gags du film insufflent l'ancienne comédie des Trois Stooges avec un certain brio. Certes, les réalisateurs sont les frères Robert et Peter Farrelly, et leurs films, auparavant, furent absolument drôles, en remarquant dans leur filmographie ensembl

De "véritables" super-héros... Heu quoi ?

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Depuis une journée, j’ai fureté sur le Web, tout en trouvant une multitude d’objets de convoitise, dont pour une fois, n’avait rien à voir avec les arts et la culture. Bien disons que c’est un peu culturel, parce que la bande dessinée américaine est un produit culturel, si on veut. J’ai découvert un groupe de personnes qui se prenait pour des super-héros... Hé oui... Rassurez-vous ce sont des gens ordinaires, et ils n’ont aucun pouvoir inouï, hors de l’ordinaire. Tout ce qu'ils ont, serait de l'enthousiasme. Tout commence par certaines personnes qui voulaient faire quelque chose de plus grand avec leur vie, et pour contribuer au meilleur de leur communauté. Certains d’entre-eux ont tous vécu une perte tragique, et essaient de trouver une sorte de plénitude, si on veut, en aidant son prochain se retrouvant dans l'embarras, comme justiciers. Quelquefois, ils le font par pure fantaisie personnelle, parce qu'ils vivent tous ou presque, un 'ras-le-bol' avec le cri

Godin, au travers du filtre visuel de Beaulieu

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Ce ne fut qu’après avoir contemplé Godin , réalisé par Simon Beaulieu, ainsi que sa rediffusion à la chaîne de Télé-Québec, que l’on ne peut s’empêcher de percevoir l’énorme richesse de la Révolution tranquille, qui se vivait bel et bien même sous le regard du député-poète Gérald Godin. Il est possible de voir le film dans son intégralité. De par son film, Beaulieu se permet de reconstruire sous nos yeux, toute la vie et la carrière de Gérald Godin, sous la réalité visuelle des archives, ainsi que des entrevues de témoignages, qui sont non le moins pertinents. Nous explorons la vie de ce député, qui auparavant durant la Révolution tranquille, avait su marquer l’évolution du Québec, et ce en étant un brillant homme d’État, sans toutefois se lancer dans les courses perpétuelles à la chefferie du PQ, comme nous connaissons maintenant. Godin est resté simple dans la vie, tout comme dans sa carrière de député et de ministre des communautés culturelles et de l’immigration. Godin, le poè

Cody, Reitman et le désintérêt total

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  Photo : Carina Adly MacKenzie   Atroce , sera le nouveau mot-clé à retenir, parmi les autres mots-clés innombrables de mon extracteur à mots, afin de faire mon adéquat “copier-coller” dans mon champ de saisie. Autrement, nous pouvons aussi retenir le terme propre d 'horrible , parce que c’est à cela que j’ai été subjugué. Autrefois, Jason Reitman et Diablo Cody ont collaboré ensemble sur le film Juno , une merveilleuse comédie emplie d’effervescence, dont le scénario fut oscarisé dans la catégorie du Meilleur Scénario original en 2007, et pour autant, Juno fut le premier scénario pour un long-métrage de Cody, à être produit comme film. Un début notoire, effectivement. En ce moment, Reitman et Cody ont collaboré une deuxième fois, pour leur première horreur ensemble , qui s’intitule aujourd’hui à l’affiche Young Adult . Le film est d’un ennui passablement mortel, et nous développons l’impression que Diablo Cody n’a plus rien à dire, et elle avait dit tout ce qu’elle pouvai

The Evil Dead Trilogy by Sam Raimi - where horror found a brand new home

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My Lord, it got a home, through and within the imagination of a young man in his early twenties and a small bunch of his own friends, developing his first short story, named Within the Woods which would have been the basis for the first Evil Dead movie. Many stories about it’s production were legendary, if you would believe every answer that Bruce Campbell would say about the films, in every Q & A session, he happens to do all over the country, including Canada. Yes, Canada isn’t actually spared from him. When we, more or less, think about it, it’s only because of the Evil Dead movies, that he does have a career in a definite way. Oddly enough, it’s only because of Raimi’s direction, that Campbell is able to give an adequate performance. Otherwise, Campbell is good in the trilogy, and he’s good in another horror/cop flick, during the 80’s, Maniac Cop , and for filmwise, it’s really about it. Later on, during the end of the 90’s, the only viable performance he’s ever done was in

Small Soldiers(1998)/Dir:Joe Dante, Written by Gavin Scott, Adam Rifkin, T.Elliot and T.Rossio - My first bad Joe Dante film

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Finally ! I’ve finished the plaster scrapping of my hallway and I must say, that I’m drenching with sweat from every possible tiny detail that came from that small little renovation job. Of course, it was insufferably boring, and not even Madam Stevie Nicks could help with the tedious boredom while she was singing her heart and lungs out through the ear muffs of my IPod (Well, okay, she did help somewhat, Let’s just say that I Can’t Wait , is a song that help me be more patient.) Until then, I’ve completely finsished the scrapping part, now comes the sanding of the entire hallway which is also boring, tedious and excruciating that is if you’re an intellectual like me. If you’re a man in construction, you’d be doing this unflinchingly, and you wouldn’t bitch, whine and complain like I do. Aftewards on that small chore, I sat down and watched Small Soldiers, which is my first terrible Joe Dante film, even if it means that it was more or less well-directed. And you still know that it’s

Innerspace(1987)/Dir:Joe Dante, Screenplay:Jeffrey Boam and Chip Proser

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Well, I was pretty much stuck doing some plaster scrapping in my own hall, when I had in my ears every possible Stevie Nicks song blaring away through my IPod : Stand Back, Landslide, Edge of Seventeen, Talk to Me, I Can’t Wait , Gold Dust Woman, Crash into Me. If I wasn’t listening to some music, it would have made scrapping my wall from stuckout and plaster, completely unbearable, and filled with insufferable tedium. For a good thing, I wasn’t already sweating buckets, but just a lot from my forehead. My roomate handed me a small handkierchef to tie over my nose and mouth, while thanking her, I was almost finishing one section of my hall and decided to call it quits for today. On Sunday, I’ll be doing the stucco around the door frame. Which would only bring us to my review of Innerspace , another Joe Dante sci-fi classic since The Howling that I last reviewed, and made more of a recommendation than a complete review. Innerspace, is a lot like another science-fiction made by Ri

Le 47%, comme taux d’analphabétisation au Québec

À la suite d’avoir parcouru les articles du Voir.ca , de tous ses chroniqueurs, concernant ce chiffre damné du 47% pour le taux d’analphabétisation, on ne peut davantage suffoquer d’indignation. En tant qu’auteur et critique, je me demande que s’est-il passé au juste pour détenir un pourcentage si colossal, représentant en somme la noirceur de l’esprit pour la moitié de notre population, la moitié de nous-mêmes ? Lorsque l’on est illettré, c’est littéralement cela, on reste dans un vide de l’esprit étanche et quelquefois irréparable. On ne sait trop rien de comment le monde fonctionne véritablement. Alors, on reste un prisonnier dans l’immondice d’une petite cellule qui nous agenouille à tout jamais. Le fait d’être illettré, c’est cela et non je ne pourrais exagérer en rien. Tout ce que l’on comprend sommairement, sont les images et le son. Rien de plus. Entre 16 et 45 ans, comment peut-on se laisser aller à nos difficultés apprentissage ? Pourquoi serait-on irresponsable pour traiter

Des critiques anglaises ?

Bon, je crois être écoeuré d’écrire en Anglais pour vraiment longtemps. Oui, je sais que cela donne au blogue, un caractère un peu schizophrène linguistique, faire le changement de l’Anglais au Français et vice-versa. C’est tout de même assez déstabilisant. De plus, je ne trouve plus quoi vraiment de matière, pour m’inspirer à faire des chroniques, dû à la surcharge de travaux anglais que je fais, que ce soit le roman Donner , ou les critiques anglaises. Je crois que tout le monde se posait véritablement la question : «Pourquoi j’écris dorénavant mes critiques en Anglais ? Le Français écrit est devenu trop dur pour lui ? Y’a juste un recoin de son cerveau qui fonctionne en Anglais et le reste plus rien ? Y’a une mode de pensée anglaise ? » Bref, presque tout le monde se posait les questions suivantes à l'égard de mes critiques de cinéma. Le Web dans sa majorité se produit dans la langue anglaise comme langue dominante, ou deuxième langue dominante. Ce n’est pas malheureux pour le

Monsieur Lazhar/Written and Directed by Philippe Falardeau - A great film from a great contempary play

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Quite a long time ago, ever since I was doing these film reviews on this blog, I couldn’t help but realise that they are wonderful contempary plays that are being written. I can include French authors, along with John Patrick Shanley, the author of Pullitzer prize winning play Doubt .But right now, after seeing Monsieur Lazhar , I was astonished by the film’s sobriety and compelling and sound performances, through Falardeau’s still documentaristic screenwriting. Anything about this film makes anything in it to stand out, and almost to me, it’s a mesmerizing and contempary Canadian masterpiece, by a young master of cinema-vérité. It deals with force and power, the suicide of a schoolteacher who wanted to die in the most hurtful way possible, and that is in her own classroom, while the children were in recess. The whole action takes place in a small elementary school somewhere in Montreal, where every little class is a small Model U.N, many children from many countries, and all Cana

The Howling(1981)/Dir:Joe Dante, Screenplay: Jon Sayles and Terrence H. Winkless - A great 80’s horror film

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Well, I’ve finally done it this time evenly, I finished my small maze videogame that took me almost to forever to make, it’s really why you haven’t seen me in roughly three weeks on this blog. But heck, I try to make my existence known here someway or somehow. So to put things into perspective, to ease off some pressure or stress, I decided to watch a great horror flick, directed by Joe Dante, The Howling, who also made Gremlins, Gremlins II, Innerspace and Small Soldiers . Great movies, if I do say so myself, especially Innerspace , it’s a movie with Martin Short that simply has it all, a great concept and great premise. Now I’m just dying to see another release of a Joe Dante sci-fi epic in the works. And now, I was viewing an 80’s classic, and it transpires everything about the 80’s because it has Dee Wallace-Stone in it, a phenomenal actress that has made most of her career in horror chillers and science-fiction films. Maybe it’s both the genres that she likes, or the direct

Hobgoblins(1988)/Written, Produced and Directed by Rick Sloane- Oh God ! This is going to hurt.

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Now aside from the fact that I’ve lost a day of work, that could have been used for the programming and designing of my Virtools maze game, which is very rudimentary. Well in my case, the maze is made out of plywood and gyproc texture, for every wall in the maze, (yeah I wasn’t amazingly inspired). As for gameplay, I only wanted to make a Pac-Man for idiots. I’m not using Unity yet, but right now I’m having every sort of problem of doing the simplest collision management tasks in scripts, and the online reference doesn’t happen to work either. In a way, I’m trying to do a collision detection on a skin character with an object, the object is itself a switch. Well anyway, I needed to unwind because programming games sure knows how to be a strain on the mind, even if you need to be slightly alert to judge your tasks that you gave in the “building blocks”. So this huge collosal stinker of a Rick Sloane epic, would probably show me the light of hubris, which relaxes me a lot. Luckily

Le sens de l’humour/Dir: Emile Gaudreault,Written by E.Gaudreault et B.Pelletier - A more than solid comedy

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I actually viewed this, on a strike day at the college where I was. Yeah, you know I’m still an eternal student of everything, especially for computers and the web, and computers, and what not. Every class lecture was suspended, until due notice. Otherwise, I could have decided to go into the building, and finish some dire school work, that I really need to put on the rails. Sometimes, I pressure myself to do it, because I just feel the need to get things done, and to get anything done, any wich way I can. In the best of possible worlds, what I surely needed was a comedy when I was stuck back home doing pretty much close to nothing, being the fact that I got an email saying that the school was closed. Well that’s certainly it, the entire world of students is infuriated to kingdom come. Everyone feels that they’re in dire straits, and the bad times are only getting worse. Christ someone should make a documentary about this, and it doesn’t need to be Michael Moore. Give some other gu

The making of Halloween (1978) by John Carpenter

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Part 1 Part 2 Part 3

Tower Heist/Dir:Brett Ratner, Screenplay: Jeff Nathanson and Ted Griffin - The proletariat’s sweet revenge

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Now, upon seeing it at the theater, I was more or less feeling for a Die Hard film, with a comedic touch. And it’s more or less of what I originally envisioned, because in the action part, there’s not a lot of suspense that goes along with it. The action part of this film, is rather subdued, only to emphasise more on the comedy. The only action and suspense is it’s plot and nothing else, while the entire performances of thi comedic stellar cast, is actually hillarious. Although, to give this film a certain credit, Brett Ratner specializes himself in action-comedies, making him a cross between John Woo and Judd Apatow, and you’d probably get Brett Ratner, minus the gross-out humour. Also, to put more into context, this is a film that is made during the time of the nationwide Occupy movement, in which people happen to live and camp out in the streets, in every major city in North America in the protest of today’s crippling economy and the financial affairs of state, could it be Mont

La section des commentaires d’un blogue

Bon voilà une chronique, en passablement très longtemps, depuis que je me tue à faire de la littérature, et de la collaboration transatlantique sur un scénario de court-métrage, ainsi que de la critique. Depuis un certain temps, les lecteurs ont dû remarquer, que je ne me donnais plus vraiment la peine de laisser les gens commenter dans une section des commentaires, au bas des articles. Auparavant, ce n’était qu’un simple oubli, qui s’est échelonné en une négligence gratuite de ma part, et d’autant plus, je ressentais de moins en moins de curiosité à ce que les gens, comme lecteurs lambdas, pouvaient songer en lisant le blogue, mais véritablement, je m'en foutais pas mal. J’ai décidé de laisser faire la section des commentaires, et mon blogue est devenu beaucoup plus “hygiénique” ou “propre”, puisque les internautes d’aujourd’hui se croient tout permit dans la grande mesure du n’importe quoi. Selon moi, lorsque je constatais la section des commentaires pour des webzines ou des

Décharge/Dir:Benoit Pilon, Screenplay: B.Pilon & Pierre Szalowski - Pilon’s own cinematic naturalism

Somewhere along the narrow passage of the velvet ropes, guiding us in a single line, towards the big ticket counter unfolding right in front of you, I could see some of the young ushers tending the registers of the counter, costumed in numerous halloween garb, could it be a vampire, a brothel madam, Ruth Ellen Rousseau, or an angel, who was a not so angelic female usher. Finally, when it came my turn, I was served by the “brothel madam”, and the dress was befittingly way too tight for her. One thing that was for sure, is that the “brothel madam” set the perfect tone for this evening, along with Pilon’s film. So, without no fuss or no muss, I payed my way in seeing Benoît Pilon’s latest film, Décharge , which succeeds sublimely his first film, Ce qu’il faut pour vivre , written by Bernard Émond. Pilon simply never fails at mastering direction, could it be for his very first documentary, Roger Toupin, épicier variété at a very meager budget, or this film, Décharge . In itself, Pilon’s

MST3K - Une série télévision culte

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Pour ceux qui ne connaissent pas Mystery Science Theater 3000, soit que vous étiez très jeune, il est néanmoins possible de voir des épisodes de cette série sur Youtube. Ou vous pourrez essayer d'agir en toute légalité, et acheter les coffrets DVD des saisons 1 à 9, comme moi je le fais, parce que moi je suis tout de même le parfait exemple d'un citoyen très droit. Oui, ma droiture est d'un zèle exemplaire.  MST3K est tellement à ce point populaire, qu'un monteur s'est décidé de faire le music video que voici, en incorporant la chanson de Weird Al Yankovic, "UHF", du film du même nom, mettant en vedette Weird Al Yankovic. Et le music video est absolument superbe. Si vous voulez savoir ce que c'est un nanar, (un film d'une nullité abyssale), bien ne cherchez pas trop loin, parce que MST3K est votre rendez-vous spécial avec le désastre cinématographique, sans pauses publicitaires. Une série TV à découvrir dans l'absolu, puisque si vous

Mon'oncle Power -(Humour/Satire)

Hier soir, je venais de découvrir pour moi-même une énorme vérité: je suis devenu un mon'oncle, non pas dans le sens, que j'ai un neveu ou une nièce. Bien non, ce serait trop foutument évident. Non, ce n'est pas ça que je dis. mais je suis devenu progressivement un mon'oncle au fil du temps. Et je peux tout aussi bien dire qu'être un mon'oncle, a bouleversé ma vie, puisqu'en étant un mon'oncle, je suis capable d'être gentil, intelligent et détenir un style de vie conservateur, tout en même temps. Oui, mes chers lecteurs qui me lisent d'un certain grain de scepticisme, on peut effectuer ces trois choses là simultanément, or c'est aussi important d'être gentil que d'être important. Comme le dicton populaire, à la Ann Landers :« It's nice to be important, but it's also important to be nice . » On se sent libre. On ne ressent plus le besoin de suivre les dernières tendances ou les dernières modes, parce que la mode est d'un

L’art du débat : ma première expérience à VOXTV

Hé oui, qui l’eût cru. Jusque vers l’âge de 28 ans, à la suite d’avoir bloguer durant une année et demie, en faisant de la critique de cinéma, de la fiction, et de la chronique de tout acabit, je me suis retrouvé sur le plateau d’ Ici et là . Le même plateau de télévision, où, depuis quatre ans, la grand écrivaine Nelly Arcan, dans la mi-trentaine, effectuait sa chronique musicale et littéraire. Puis, c’est mon arrivée infructueuse dans les coulisses de la télévision, où je me devais de commenter, en tant que “twiveur”, un débat culturel, dont l’ironie en quelque sorte fut le sujet des médias sociaux : sont-ils véritablement antisociaux ou non ? L’ironie, est que moi-même, je me sers des médias sociaux pour ploguer mes propres articles de blogue, et pour recevoir de l’information des gens (twitteux). Intérieurement, pour un “baptême télé”, le stress m’était grandiose, tant que j’avais peur de me gourer pour rien, ou d’être gauche pour rien, et de faire pitoyable impression devant toute

Exercice de style, à la Raymond Queneau

Dans un exercice de style, pour le cadre de mon cours de scénarisation interactive, on m'a demandé de transformer le texte que voici, afin de lui procurer une approche formelle. Et j'ai construit mon texte, au point de vue de son style, dans une formalité assez exagérée, ce qui fut complètement intentionnel de ma part. Lorsque je le lus au professeur et à la classe : le professeur en riait aux larmes. Ah ! Queneau en serait si fier. J'en jouis presque(bien non).  « J’ai regardé un ti-cul qui voit une tortue sur le trottoir. Un vieux passe par là et lui dit : « Ramasse la tortue ! » Le jeune lui dit qu’il veut pas ramasser la tortue parce qu’il a vu sur le net que ça donnait des bibittes. » D'une extrême formalité Sur le trottoir, un jeunot contemplait avidemment une tortue. Un vieillard, se retrouvant à l'endroit du garçon, lui dit d'une véhémence contenue et abrasive: "Ramasse la tortue !" Le jouvenceau lui répondit qu'il ne désire