L'art de survivre les entrevues télévisuelles pour les nuls - COMM 101 (Humour/Satire)
Choisir l'intervieweur
Tout d'abord, il faut connaître le fait que nous pouvons tous aussi bien choisir son intervieweur, puisqu'il va falloir que vous choisissez un intervieweur qui vous pose des questions, dont les mêmes questions vont être bien sûr, emplies de tact et de diplomatie.(Enfin pour vous, nous l'espérons.) C'est l'erreur presque récurrente de toutes les vedettes et les interviewés, est de ne pas choisir scrupuleusement le journaliste intervieweur qui se devra la tâche de vous interviewer. Vous avez le choix de décliner des offres des journalistes pour des entrevues, alors ce n'est pas vraiment quelque chose de fondamental de faire une entrevue avec n'importe qui. Votre agent peut-être vous dira, que vous vous devez passer une entrevue avec ce journaliste, parce qu'il incarne à peu près votre seul garant de succès, pour une renommée locale ou internationale, malgré que le journaliste possède lui-même des grands défauts. Alors soit, faites le donc, mordez-vous les lèvres, et serrez-vous les fesses, et tâchez-donc de développer la réplique facile. En effet, lorsque vous êtes une célébrité et que vous faîtes une entrevue, la réplique facile incarne assez sporadiquement votre seule planche de salut. On dit cela puisque les journalistes possèdent la réplique facile. Oui, nous le savons, c'est très chiant. Nous en sommes un peu traumatisés nous-mêmes, cependant nous avons appris de nos séquelles désormais.
Préparation d'entrevue
Alors, vous devez vous choisir un intervieweur, avec lequel vous avez un excellent rapport d'affinités, ce qui vous assurera un moment agréable. Si votre intervieweur est un parfait inconnu, vous devez apprendre à le connaître, en le connaissant comme personne. Si un recherchiste de talk-show, vous appelle à la maison pour vous dire, si cela vous intéresserait d'être l'invité d'une émission, et que vous connaissez pas l'animateur comme personne, ne vous donnez pas la peine de le faire. Quand un animateur nous est parfaitement inconnu, il en résulte que l'on a des bonnes et des mauvaises surprises. La plus grande des mauvaises surprises, est que l'animateur est un idiot désobligeant, qui pose des questions impertinentes, et blessantes, et peu importe. Bref, un journaliste qui veut vous sortir de vos gonds, dans les seuls fins de vous faire réagir et vous faire parler, et non pour chercher à vous blesser. La plupart des journalistes, sont des juristes ou des avocats, et ceci est comme une "tactique d'avocat", en quelque sorte. Alors, faites vos recherches vous-mêmes, regardez et observez l'émission de votre intervieweur futur, pour savoir comment il est avec ses invités. Aiguisez votre psychologie, en observant les autres comme votre animateur.
L'entrevue
Voilà la partie, où l'on ressent le plus de plaisir, ou pour certains, on ressent le plus noir des châtiments. Si vous avez fait votre première entrevue de votre vie, par conséquent à la suite d'une interview, faites vous un examen des événements sur papier dans un journal intime ou dans votre tête. Demandez-vous si vous avez aimer ou détester votre expérience ? Si vous avez aimer cela, bien tant mieux et vous allez développer de l'expérience par la suite, sinon fouillez en vous-mêmes si c'était votre tract ou votre nervosité pour les premières minutes, qui vous aurait quelque peu nuit. Vous allez vous rendre que ce n'était pas si énorme que cela, même en compagnie de 2.2 millions de spectateurs. Contrairement au dicton populaire: "Les premières impressions sont les plus importantes", les premières impressions ne sont pas nécessairement taillées dans le rock. Une impression reste quand même une impression, et cela n'entraînera pas de stigma sociale, comme on le croit pour rien. Si vous n'avez rien à vous reprocher, alors c'est cela, vous n'avez rien à vous reprocher. Mais aussi c'est l'importance de ne pas tout dire, et d'être minimaliste et concis dans son discours. Lorsque l'on cherche à répondre à des questions, on le fait sans trop de fioritures inutiles, étant le plus direct possible, et en n'essayant pas toutefois de se tirer dans le pied.
Comme une entrevue d'emploi, si vous percevez la moindre injure voilée sous forme de question ou dans les remarques d'un animateur quelconque, alors ce que l'on fait, est de quitter la chaise et partir. Faites le n'importe quand, même si l'entrevue est devant un auditoire, malgré le fait que cela est un peu théâtral pour rien. À la moindre platitude, vous quittez la pièce, le studio, le public, l'édifice et tout. Laissez donc faire ce que l'on peut croire ou penser de vous dans le feu du moment, et faites le vide dans votre tête. Certains invités, qui épousent l'humour d'un animateur d'un rire jaune, restent avec celui-ci, parce qu'ils ont besoin de l'attention médiatique. Ils restent avec l'intervieweur, parce qu'ils ont tout de même la réplique facile, et savent répondre du tac au tac, insulte par injure. Cela est une erreur, parce qu'il aura toujours d'autres occasions, avec des meilleurs intervieweurs que la dernière des "charognes" que vous avez probablement subit.
De plus, on ne peut davantage accentuer l'importance de développer les deux grandes qualités de la prestation publique, un ego en "fer forgé", à la fois flexible et solide, ainsi qu'une réplique très habile et très fignolée à la Oscar Wilde.
Fin (heureuse) de l'entrevue
Vous pouvez aller dans un bar au Quartier Latin et vous enivrez la fraise, avec des proches et des amis et non des collègues, pour commémorer votre baptême d'entrevue, lorsque c'est une merveilleuse première expérience.
Fin (malheureuse) de l'entrevue
Rentrez donc chez-vous, puis essayez d'oublier, puisque demain est un autre jour. Ne sautez pas en bas du vingtième étage; ne vous pendez pas; ne vous faîtes pas écraser par un train; ne vous tirez pas une balle dans la tête. Autrement dit, ne vous jetez pas dans l'abîme, juste à cause d'un idiot de merde qui ne vous aime pas. Essayez donc juste de dormir bien convenablement dans votre lit, parce que dans le monde d'aujourd'hui, on n'a presque plus de mémoire.
Après tout, on peut bien me croire, parce que moi-même j'ai déjà interviewer les gens comme jeune documentariste à l'université.
M.L
Le 16 sept 2011
Tout d'abord, il faut connaître le fait que nous pouvons tous aussi bien choisir son intervieweur, puisqu'il va falloir que vous choisissez un intervieweur qui vous pose des questions, dont les mêmes questions vont être bien sûr, emplies de tact et de diplomatie.(Enfin pour vous, nous l'espérons.) C'est l'erreur presque récurrente de toutes les vedettes et les interviewés, est de ne pas choisir scrupuleusement le journaliste intervieweur qui se devra la tâche de vous interviewer. Vous avez le choix de décliner des offres des journalistes pour des entrevues, alors ce n'est pas vraiment quelque chose de fondamental de faire une entrevue avec n'importe qui. Votre agent peut-être vous dira, que vous vous devez passer une entrevue avec ce journaliste, parce qu'il incarne à peu près votre seul garant de succès, pour une renommée locale ou internationale, malgré que le journaliste possède lui-même des grands défauts. Alors soit, faites le donc, mordez-vous les lèvres, et serrez-vous les fesses, et tâchez-donc de développer la réplique facile. En effet, lorsque vous êtes une célébrité et que vous faîtes une entrevue, la réplique facile incarne assez sporadiquement votre seule planche de salut. On dit cela puisque les journalistes possèdent la réplique facile. Oui, nous le savons, c'est très chiant. Nous en sommes un peu traumatisés nous-mêmes, cependant nous avons appris de nos séquelles désormais.
Préparation d'entrevue
Alors, vous devez vous choisir un intervieweur, avec lequel vous avez un excellent rapport d'affinités, ce qui vous assurera un moment agréable. Si votre intervieweur est un parfait inconnu, vous devez apprendre à le connaître, en le connaissant comme personne. Si un recherchiste de talk-show, vous appelle à la maison pour vous dire, si cela vous intéresserait d'être l'invité d'une émission, et que vous connaissez pas l'animateur comme personne, ne vous donnez pas la peine de le faire. Quand un animateur nous est parfaitement inconnu, il en résulte que l'on a des bonnes et des mauvaises surprises. La plus grande des mauvaises surprises, est que l'animateur est un idiot désobligeant, qui pose des questions impertinentes, et blessantes, et peu importe. Bref, un journaliste qui veut vous sortir de vos gonds, dans les seuls fins de vous faire réagir et vous faire parler, et non pour chercher à vous blesser. La plupart des journalistes, sont des juristes ou des avocats, et ceci est comme une "tactique d'avocat", en quelque sorte. Alors, faites vos recherches vous-mêmes, regardez et observez l'émission de votre intervieweur futur, pour savoir comment il est avec ses invités. Aiguisez votre psychologie, en observant les autres comme votre animateur.
L'entrevue
Voilà la partie, où l'on ressent le plus de plaisir, ou pour certains, on ressent le plus noir des châtiments. Si vous avez fait votre première entrevue de votre vie, par conséquent à la suite d'une interview, faites vous un examen des événements sur papier dans un journal intime ou dans votre tête. Demandez-vous si vous avez aimer ou détester votre expérience ? Si vous avez aimer cela, bien tant mieux et vous allez développer de l'expérience par la suite, sinon fouillez en vous-mêmes si c'était votre tract ou votre nervosité pour les premières minutes, qui vous aurait quelque peu nuit. Vous allez vous rendre que ce n'était pas si énorme que cela, même en compagnie de 2.2 millions de spectateurs. Contrairement au dicton populaire: "Les premières impressions sont les plus importantes", les premières impressions ne sont pas nécessairement taillées dans le rock. Une impression reste quand même une impression, et cela n'entraînera pas de stigma sociale, comme on le croit pour rien. Si vous n'avez rien à vous reprocher, alors c'est cela, vous n'avez rien à vous reprocher. Mais aussi c'est l'importance de ne pas tout dire, et d'être minimaliste et concis dans son discours. Lorsque l'on cherche à répondre à des questions, on le fait sans trop de fioritures inutiles, étant le plus direct possible, et en n'essayant pas toutefois de se tirer dans le pied.
Comme une entrevue d'emploi, si vous percevez la moindre injure voilée sous forme de question ou dans les remarques d'un animateur quelconque, alors ce que l'on fait, est de quitter la chaise et partir. Faites le n'importe quand, même si l'entrevue est devant un auditoire, malgré le fait que cela est un peu théâtral pour rien. À la moindre platitude, vous quittez la pièce, le studio, le public, l'édifice et tout. Laissez donc faire ce que l'on peut croire ou penser de vous dans le feu du moment, et faites le vide dans votre tête. Certains invités, qui épousent l'humour d'un animateur d'un rire jaune, restent avec celui-ci, parce qu'ils ont besoin de l'attention médiatique. Ils restent avec l'intervieweur, parce qu'ils ont tout de même la réplique facile, et savent répondre du tac au tac, insulte par injure. Cela est une erreur, parce qu'il aura toujours d'autres occasions, avec des meilleurs intervieweurs que la dernière des "charognes" que vous avez probablement subit.
De plus, on ne peut davantage accentuer l'importance de développer les deux grandes qualités de la prestation publique, un ego en "fer forgé", à la fois flexible et solide, ainsi qu'une réplique très habile et très fignolée à la Oscar Wilde.
Fin (heureuse) de l'entrevue
Vous pouvez aller dans un bar au Quartier Latin et vous enivrez la fraise, avec des proches et des amis et non des collègues, pour commémorer votre baptême d'entrevue, lorsque c'est une merveilleuse première expérience.
Fin (malheureuse) de l'entrevue
Rentrez donc chez-vous, puis essayez d'oublier, puisque demain est un autre jour. Ne sautez pas en bas du vingtième étage; ne vous pendez pas; ne vous faîtes pas écraser par un train; ne vous tirez pas une balle dans la tête. Autrement dit, ne vous jetez pas dans l'abîme, juste à cause d'un idiot de merde qui ne vous aime pas. Essayez donc juste de dormir bien convenablement dans votre lit, parce que dans le monde d'aujourd'hui, on n'a presque plus de mémoire.
Après tout, on peut bien me croire, parce que moi-même j'ai déjà interviewer les gens comme jeune documentariste à l'université.
M.L
Le 16 sept 2011
