Ce fut une affaire à la Cour qui me dégoûtait de semaine en semaine, à cause de l’absurdité d’un procès pour un maquilleur et designer d’effets spéciaux qui est trop performant, tellement brillant que cela marche contre lui. Maintenant, j’écris cet article, tout en laissant de côté le second jet de mon roman qui s’étire sur 157 pages, car ma révulsion, pour cette malheureuse histoire, est à son summum. Oui, un second jet, parce qu’il faut se réécrire, naturellement si on veut que le livre soit à son meilleur, comme toujours. Pourquoi suis-je si répugné ? Probable aussi que je suis un critique et auteur, et maintenant un monteur vidéo pour le Web qui veut joindre les deux bouts, en tant que pigiste. Rémy Couture était sur la sellette, parce qu’il est un maquilleur de cinéma extrêmement compétent, allant même en déduire que son travail révèle l’étoffe d’un génie sans précédent au Canada. Malheureusement, son génie dans sa profession lui entraîna des charges de corruption des mœurs