Intimidation et Interprétation; la fureur et le silence. (Suite de l’affaire JF Champagne)
Non très bref retour sur Jeff Champagne
Durant tout le battage médiatique qui s’est perpétué à l’endroit d’une seule personne, tout comme s’il était durant la semaine, un damné de la terre, marqué au fer rouge.
Je ne pouvais m’empêcher de penser aux méthodes du petit pirate de Twitter @jeffsabres, quand bien même qu’un expert en multimédia, aurait pu remarquer qu’il fut probablement un programmeur de haut niveau, mais en cachant ses connaissances aux médias. En considérant ses méthodes de « hacking », je suis venu à mes propres constatations.
En ayant quelques connaissances de base en Javascript ou en ECMAScript, qui sont des langages de programmation, Champagne pouvait à son tour créer et reproduire à l’infini des comptes Twitter, tout autant qu’il pouvait envoyer en toute simultanéité des nombres records de courriel aux boîtes de célébrités. Dans l’espace de 6 millisecondes, qui seraient 6 millièmes de seconde, on aurait pu envoyer un million de messages courriels à l’endroit de n’importe qui. Mais de toute façon, Champagne n’était pas si idiot que cela pour envoyer un million, si on considère qu’il aurait envoyé 50. On attache le courriel dans une boucle dans un script et la victime le reçoit. On attache les adresses twitter ou courriel de nombreuses personnes dans une boucle, et dans l’espace d’une milliseconde, 50 courriels haineux vont dans 50 adresses différentes. Vous me suivez ? Non, alors ce n’est pas grave, vous le raisonnerez après.
Également, il use le même principe avec la reproduction de comptes Twitter, qui furent faits « à la vitesse de l’éclair » comme l’avait signalé les internautes. Dans une boucle, il reproduit des nouveaux comptes, et cela le fait en deux millisecondes.
Pour résumer, un hacker très détestable et possiblement très dangereux qui a voulu imposer son « climat de terreur de deux sous », et qui s’est fait pincé royalement dans le processus. Or, le plus détestable de cette situation, serait non seulement sa libération conditionnelle, mais le fait que ce ne soit rien que les artistes qui peuvent avancer la Justice et l’enquête, lorsque l’on considère que c’est la responsabilité de tous les citoyens de passer aux actes pas rien que les artistes. Quand on constate le mal ou l’illégal qui arrive sous nos yeux, même pour un écran plasma, il faudrait être enclin à vouloir faire quelque chose et de ne pas rester comme une merde, à ne rien faire. Moi, je ne suis pas un artiste connu (bien aucunement connu, il faudrait dire), ni même une célébrité, et on n’aurait pas à me le dire une fois de porter plainte. C’est assez illico avec moi. C’est très détestable dans mon livre, l’apathie individuelle et collective.
Intimidation et interprétation
Il va falloir que l’on essaie de faire attention à nos discours sur le web, parce que tous nos discours sont rapportés à vrai dire. On pourrait faire une blague, et cette même blague pourrait s’interpréter comme une insulte ou une menace de mort, (seulement pour des idiots remarquez bien). Alors, à vrai dire, on produit de la mésinterprétation avec tout simplement n’importe quoi. D’autant plus, il n’existe pas beaucoup de gens qui interprètent très bien tous nos discours, alors dans les médias sociaux, on va perpétuellement jouer avec le feu.
On n’a plus le goût de parler à personne sur le web, et on se concentre finalement sur nos petites choses. Je n’ai plus le goût de discuter avec personne, spécialement une célébrité, parce que je ne voudrais pas que l’on fasse une tour de Babel avec mes messages. Cela va être ma nouvelle attitude désormais avec le « monde twitterien », parce qu’à vrai dire, c’est assez nullissime que des idiots d’hackeurs veulent troubler une certaine quiétude virtuelle, vers laquelle on était habitué auparavant, mais la vie réelle continue. Par conséquent, on s’en torche éperduement ; on se préoccupe de nos affaires véritables, et non de nos niaiseries virtuelles
M.L
Le 2 avril 2011
Durant tout le battage médiatique qui s’est perpétué à l’endroit d’une seule personne, tout comme s’il était durant la semaine, un damné de la terre, marqué au fer rouge.
Je ne pouvais m’empêcher de penser aux méthodes du petit pirate de Twitter @jeffsabres, quand bien même qu’un expert en multimédia, aurait pu remarquer qu’il fut probablement un programmeur de haut niveau, mais en cachant ses connaissances aux médias. En considérant ses méthodes de « hacking », je suis venu à mes propres constatations.
En ayant quelques connaissances de base en Javascript ou en ECMAScript, qui sont des langages de programmation, Champagne pouvait à son tour créer et reproduire à l’infini des comptes Twitter, tout autant qu’il pouvait envoyer en toute simultanéité des nombres records de courriel aux boîtes de célébrités. Dans l’espace de 6 millisecondes, qui seraient 6 millièmes de seconde, on aurait pu envoyer un million de messages courriels à l’endroit de n’importe qui. Mais de toute façon, Champagne n’était pas si idiot que cela pour envoyer un million, si on considère qu’il aurait envoyé 50. On attache le courriel dans une boucle dans un script et la victime le reçoit. On attache les adresses twitter ou courriel de nombreuses personnes dans une boucle, et dans l’espace d’une milliseconde, 50 courriels haineux vont dans 50 adresses différentes. Vous me suivez ? Non, alors ce n’est pas grave, vous le raisonnerez après.
Également, il use le même principe avec la reproduction de comptes Twitter, qui furent faits « à la vitesse de l’éclair » comme l’avait signalé les internautes. Dans une boucle, il reproduit des nouveaux comptes, et cela le fait en deux millisecondes.
Pour résumer, un hacker très détestable et possiblement très dangereux qui a voulu imposer son « climat de terreur de deux sous », et qui s’est fait pincé royalement dans le processus. Or, le plus détestable de cette situation, serait non seulement sa libération conditionnelle, mais le fait que ce ne soit rien que les artistes qui peuvent avancer la Justice et l’enquête, lorsque l’on considère que c’est la responsabilité de tous les citoyens de passer aux actes pas rien que les artistes. Quand on constate le mal ou l’illégal qui arrive sous nos yeux, même pour un écran plasma, il faudrait être enclin à vouloir faire quelque chose et de ne pas rester comme une merde, à ne rien faire. Moi, je ne suis pas un artiste connu (bien aucunement connu, il faudrait dire), ni même une célébrité, et on n’aurait pas à me le dire une fois de porter plainte. C’est assez illico avec moi. C’est très détestable dans mon livre, l’apathie individuelle et collective.
Intimidation et interprétation
Il va falloir que l’on essaie de faire attention à nos discours sur le web, parce que tous nos discours sont rapportés à vrai dire. On pourrait faire une blague, et cette même blague pourrait s’interpréter comme une insulte ou une menace de mort, (seulement pour des idiots remarquez bien). Alors, à vrai dire, on produit de la mésinterprétation avec tout simplement n’importe quoi. D’autant plus, il n’existe pas beaucoup de gens qui interprètent très bien tous nos discours, alors dans les médias sociaux, on va perpétuellement jouer avec le feu.
On n’a plus le goût de parler à personne sur le web, et on se concentre finalement sur nos petites choses. Je n’ai plus le goût de discuter avec personne, spécialement une célébrité, parce que je ne voudrais pas que l’on fasse une tour de Babel avec mes messages. Cela va être ma nouvelle attitude désormais avec le « monde twitterien », parce qu’à vrai dire, c’est assez nullissime que des idiots d’hackeurs veulent troubler une certaine quiétude virtuelle, vers laquelle on était habitué auparavant, mais la vie réelle continue. Par conséquent, on s’en torche éperduement ; on se préoccupe de nos affaires véritables, et non de nos niaiseries virtuelles
M.L
Le 2 avril 2011
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