On me publie. Ma réaction: Hein? De quoi ? What the F**k! (Humour)
Et pourtant, je ne pensais jamais que je pouvais suscister un certain intérêt chez des personnes, afin qu'ils puissent insérer mes articles dans leur journal électronique. Ce fut tout de même le cas avec mon dernier blogue sur la SODEC et Téléfilm: une forme de censure, etc. Entre autre, j'étais dans le Journal Twitter d'un gars qui s'appelle Blogstory. Apparemment, il a décidé de s'ouvrir un journal, bref un geste que j'applaudis bien sûr. Mais c'est quand même gros la décision de fonder un journal comme média électronique, c'est très sérieux. Ce n'est pas comme ouvrir une allée de bowling. Mais en principe, le Journal de Blogstory est un raccomodage de tweets sur l'actualité, fait par des twitteux en liens dans leurs tweets. Et moi qui croyait que les twitteux faisaient des articles, sur cela, j'avais un peu tort.
Je ne pensais jamais que je pouvais même susciter le moindre intérêt, parce qu'après tout, je suis tellement nullisime comme blogueur, ça n'a pas de bon sens même. Je suis la dernière personne que l'on penserait prendre en choississant des articles pour un journal, même si on relate des arts et des spectacles. Hé oui, comme auteur, je suis d'une nullité sans nom. Pour cette simple raison, il faut être complètement malade entre ses deux oreilles pour me faire publier. Hé oui, il faut être pioché au travers de la tête. Et non, ce n'est pas de l'auto-flagellation, c'est beaucoup plus pire que de l'autoflagellation (l'auto-mutilation mentale peut-être). Bien par conséquent, mon égo n'est pas très sainement fort, comme on le constate dès tout de suite. Bien si vous me trouvez assez bon pour être publié, bien publiez moi ! Ça veut juste dire que vous avez du goût finalement.
Pour illustrer mon sentimemt de presque nullité comme blogueur, il faudrait que je vous raconte une anecdote. Une fois quand j'étais ado, j'ai écrit une lettre d'amour cacheté à une fille absolument merveilleuse et ravissante et rousse, Sarah. Et je ne savais même pas qu'elle avait un petit ami, ou un chum déjà, mais elle me connaissait déjà.( Pfft, une allumeuse.) Une lettre d'amour où j'insufflais toute mon âme et ma passion pour elle, assez sommairement. Ma lettre d'amour pour elle, était dans une enveloppe, encore cacheté bien sûr. Je suis passé la voir chez elle à son appartement, et elle m'amena dans son salon, en prenant un café ensemble. Je lui donne ma lettre, qu'elle dépose quelque part dans la cuisine. Vers un moment donné, son chum se réveillant d'un lourd sommeil, arrive dans le salon. Il demande à Sarah qui suis-je au juste d'un ton bestial et farouche, et lamente le fait qu'il ne reste plus de papier de toilette dans la dite toilette. Sarah se lève du sofa et va quelque part dans la cuisine, et donne a son chum ma lettre cacheté (probablement par inadvertance), en lui marmonnant à voix basse : "Tins, prends c'te lettre là qui est pas ouverte. Pas important, juste du junk-mail autrement". A ma réaction, je me disais intérieurement et tristement: "Heille ma lettre! Stique.. Crisse... Fuck". Mais dès que Sarah est revenue de son chum, je lui ai dit: "T'as pas donné ma lettre hein?" Elle me répondit d'un ton laconique et ennuyé: "Penses pas non" . Et ce fut la dernière fois que je l'ai vu.
Hé oui, la principale utilité, avec mes écrits, fut que l'on pouvait toujours s'en torcher avec, on dirait. Bien autrefois, ce fut le cas. Or lorsque l'on a reçu 3772 (et plus) de visiteurs sur un blogue, avec une moyenne de 815 visites par mois, tout dépendamment des saisons, on voit pertinnement bien que plus personne ne se torche de mes écrits. Je commence à plaire à l'endroit de beaucoup de gens. Peut-être que vous imprimez mes blogues et par la suite, vous vous en torchez avec. Dans ce cas-ci, si vous faites ça, vous êtes un foutu mongol.
M.L
-Le 16 février 2011
Je ne pensais jamais que je pouvais même susciter le moindre intérêt, parce qu'après tout, je suis tellement nullisime comme blogueur, ça n'a pas de bon sens même. Je suis la dernière personne que l'on penserait prendre en choississant des articles pour un journal, même si on relate des arts et des spectacles. Hé oui, comme auteur, je suis d'une nullité sans nom. Pour cette simple raison, il faut être complètement malade entre ses deux oreilles pour me faire publier. Hé oui, il faut être pioché au travers de la tête. Et non, ce n'est pas de l'auto-flagellation, c'est beaucoup plus pire que de l'autoflagellation (l'auto-mutilation mentale peut-être). Bien par conséquent, mon égo n'est pas très sainement fort, comme on le constate dès tout de suite. Bien si vous me trouvez assez bon pour être publié, bien publiez moi ! Ça veut juste dire que vous avez du goût finalement.
Pour illustrer mon sentimemt de presque nullité comme blogueur, il faudrait que je vous raconte une anecdote. Une fois quand j'étais ado, j'ai écrit une lettre d'amour cacheté à une fille absolument merveilleuse et ravissante et rousse, Sarah. Et je ne savais même pas qu'elle avait un petit ami, ou un chum déjà, mais elle me connaissait déjà.( Pfft, une allumeuse.) Une lettre d'amour où j'insufflais toute mon âme et ma passion pour elle, assez sommairement. Ma lettre d'amour pour elle, était dans une enveloppe, encore cacheté bien sûr. Je suis passé la voir chez elle à son appartement, et elle m'amena dans son salon, en prenant un café ensemble. Je lui donne ma lettre, qu'elle dépose quelque part dans la cuisine. Vers un moment donné, son chum se réveillant d'un lourd sommeil, arrive dans le salon. Il demande à Sarah qui suis-je au juste d'un ton bestial et farouche, et lamente le fait qu'il ne reste plus de papier de toilette dans la dite toilette. Sarah se lève du sofa et va quelque part dans la cuisine, et donne a son chum ma lettre cacheté (probablement par inadvertance), en lui marmonnant à voix basse : "Tins, prends c'te lettre là qui est pas ouverte. Pas important, juste du junk-mail autrement". A ma réaction, je me disais intérieurement et tristement: "Heille ma lettre! Stique.. Crisse... Fuck". Mais dès que Sarah est revenue de son chum, je lui ai dit: "T'as pas donné ma lettre hein?" Elle me répondit d'un ton laconique et ennuyé: "Penses pas non" . Et ce fut la dernière fois que je l'ai vu.
Hé oui, la principale utilité, avec mes écrits, fut que l'on pouvait toujours s'en torcher avec, on dirait. Bien autrefois, ce fut le cas. Or lorsque l'on a reçu 3772 (et plus) de visiteurs sur un blogue, avec une moyenne de 815 visites par mois, tout dépendamment des saisons, on voit pertinnement bien que plus personne ne se torche de mes écrits. Je commence à plaire à l'endroit de beaucoup de gens. Peut-être que vous imprimez mes blogues et par la suite, vous vous en torchez avec. Dans ce cas-ci, si vous faites ça, vous êtes un foutu mongol.
M.L
-Le 16 février 2011
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