Une semaine inassouvie de travail

Cela ne fait que commencer et c'est si peu dire. Ce que je lamente surtout, mais au fait c'est ce que je trouve un peu déplorable est qu'il ait un petit nombre d'Européens qui lisent mon blogue. Or, je suis d'une certitude absolue que les Allemands, les Suédois, ainsi que les Russes savent le Francais, mais il a toujours qu'une minorité infime qui me lit, strictement en Europe. Tandis que les Francais eux-memes, eh bien ils savent le Francais, cela va carrément sans dire. Alors, maintenant quoi ? Relatons un peu ma semaine. Elle fut folle, mais cela, vous le saviez déja.

Depuis deux semaines plus exactement, j'ai terminé un site web de trois pages-écran, intitulé Le Kinographe comme projet scolaire. De plus, je devais faire une rédaction de deux pages, pour un travail pratique. Finalement, je devais faire des dessins graphiques, or dans mon college, on m'occupe pardi avec de tout et de rien. Je dois faire des exercices formatifs en programmation Web, et la liste en suit. Il n'a que du boulot, qui se mesure de maniere exponentielle. Tout le monde dans ma classe étroite de 25 personnes doivent y mettre le turbo, en y appliquant le plus de son sien, dans l'écart d'un échéancier tres étroit.

Je vis le ranci de la routine et de la besogne, seulement lors d'un premier mois. A cet effet, j'ai terminé de dessiner huit décors d'un court-métrage d'animation et je me dois la tache de les animer. Dans mon progres incessant, pour les nouvelles taches qui me sont conférées, je dois les attaquer de plein fouet. En aucune facon, il y aurait de la place pour le perfectionnisme, alors nos travaux sont dominés par la qualité de l'imperfection.

On dit que c'est le premier semestre qui est le plus difficile, c'est probablement vrai. Tout est nouveau, mais tout doit se faire en digérant par bouchées succinctes les matieres de nos cours.

-M.L

Le 29 novembre 2010