Mon drame familial - 30 mai 2010
Une histoire familiale de merde. Si jamais on ne pourrait le croire.
Cela s'était produit, voila deux semaines. Au début, ce fut une histoire qui n'avait point besoin de plus d'antécédents, et meme sans grande conséquence. Voila deux semaines, mon frere Jonathan venait d'avoir un accident en voiture, heureusement ce ne fut pas un grave accident. Jonathan n'était pas lui-meme le conducteur, un autre de ses comparses le fut, et je ne sais meme pas son nom. L'ami, en principe, a été encore "chaud" de la veille, c'est-a-dire qu'il avait été, hier au soir largement trop fetard, en ayant bu comme un sale trou. Alors, le matin, des qu'il prit le volant, et que Jonathan fut au coté passager, son copain a freiné d'urgence sur une bicyclette. Le choc soudain du freinage projeta Jonathan vers l'avant en percutant sa tete dans le pare-brise. Heureusement, le pare-brise n'était pas fixé solidement, meme que l'on prétendait que la voiture ne fut qu'une tire merdique.
A la triste nouvelle, mon pere et ma mere furent prévisiblement dans tout leur émoi. Ce qui augmentait leur désarroi, était que Jonathan refusait obstinément d'aller a un hopital, afin de savoir s'il n'aurait pas de blessures graves autour de son cou. Il se sentait correct, et ne souffrait pas a ce point la. Cela avait duré depuis plus d'une semaine.
Cependant, vers les trois semaines qui ont suivies, tout a déchainé d'un seul coup. Lorsque j'étais parti pour faire ma promenade quotidienne, parce que je m'efforce a sortir de la maison pour marcher et profiter de l'été, Jonathan rentra en trombe dans la maison ( il vit dans un autre appartement). Il avait le cou bloqué dans une position, et ne pouvait plus le bouger. Maman lui dit que ce furent les répercussions de son whiplash, lors de l'accident. Jonathan voulait obliger mon pere, maintenant un vieillard cardiaque dans la soixantaine, a l'amener vers la pharmacie pour ses douleurs. Mes parents lui proposent de prendre rendez-vous avec un chiropraticien, mais il refuse celui-ci, a cause d'une mauvaise expérience avec un chiropraticien.
Dans l'effusion de sa colere et de sa douleur, Jonathan maudit mes parents, promettant de ne plus jamais remmettre les pieds a la maison familiale. Il ne pourrait pas aller se faire soigner dans un hopital ordinaire du CHUM, parce que son cas ne ferait qu'empirer. On lui plaquerait et viserait des tiges dans le cou, ce qui détruirait son cou au complet. Mes parents le trouvent désormais absolument fou a lier, mais regrettablement, ils ont toujours penser cela.
Personnellement, il n'a rien que lui-meme pour se blamer, puisqu'a son age il aurait fallu qu'il se met a choisir de meilleurs amis. Ceux qui ne seraient pas des alcooliques en pratique.
Bref, t'avais rien qu'a conduire.
-M.L
30 mai 2010
Cela s'était produit, voila deux semaines. Au début, ce fut une histoire qui n'avait point besoin de plus d'antécédents, et meme sans grande conséquence. Voila deux semaines, mon frere Jonathan venait d'avoir un accident en voiture, heureusement ce ne fut pas un grave accident. Jonathan n'était pas lui-meme le conducteur, un autre de ses comparses le fut, et je ne sais meme pas son nom. L'ami, en principe, a été encore "chaud" de la veille, c'est-a-dire qu'il avait été, hier au soir largement trop fetard, en ayant bu comme un sale trou. Alors, le matin, des qu'il prit le volant, et que Jonathan fut au coté passager, son copain a freiné d'urgence sur une bicyclette. Le choc soudain du freinage projeta Jonathan vers l'avant en percutant sa tete dans le pare-brise. Heureusement, le pare-brise n'était pas fixé solidement, meme que l'on prétendait que la voiture ne fut qu'une tire merdique.
A la triste nouvelle, mon pere et ma mere furent prévisiblement dans tout leur émoi. Ce qui augmentait leur désarroi, était que Jonathan refusait obstinément d'aller a un hopital, afin de savoir s'il n'aurait pas de blessures graves autour de son cou. Il se sentait correct, et ne souffrait pas a ce point la. Cela avait duré depuis plus d'une semaine.
Cependant, vers les trois semaines qui ont suivies, tout a déchainé d'un seul coup. Lorsque j'étais parti pour faire ma promenade quotidienne, parce que je m'efforce a sortir de la maison pour marcher et profiter de l'été, Jonathan rentra en trombe dans la maison ( il vit dans un autre appartement). Il avait le cou bloqué dans une position, et ne pouvait plus le bouger. Maman lui dit que ce furent les répercussions de son whiplash, lors de l'accident. Jonathan voulait obliger mon pere, maintenant un vieillard cardiaque dans la soixantaine, a l'amener vers la pharmacie pour ses douleurs. Mes parents lui proposent de prendre rendez-vous avec un chiropraticien, mais il refuse celui-ci, a cause d'une mauvaise expérience avec un chiropraticien.
Dans l'effusion de sa colere et de sa douleur, Jonathan maudit mes parents, promettant de ne plus jamais remmettre les pieds a la maison familiale. Il ne pourrait pas aller se faire soigner dans un hopital ordinaire du CHUM, parce que son cas ne ferait qu'empirer. On lui plaquerait et viserait des tiges dans le cou, ce qui détruirait son cou au complet. Mes parents le trouvent désormais absolument fou a lier, mais regrettablement, ils ont toujours penser cela.
Personnellement, il n'a rien que lui-meme pour se blamer, puisqu'a son age il aurait fallu qu'il se met a choisir de meilleurs amis. Ceux qui ne seraient pas des alcooliques en pratique.
Bref, t'avais rien qu'a conduire.
-M.L
30 mai 2010
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