Depuis deux ou trois mois, je m’étais empressé de lire la fameuse nouvelle, presque roman, d’Anton Tchekhov, Le Duel . Pour une nouvelle de Tcheckhov, que ce soit l’un de ses plusieurs nouvelles dans tout l’ensemble de son œuvre qui se départage entre sa dramaturgie et ses nouvelles, elle est immensément un classique. J’adore tout ce qui fait une œuvre de Tchekhov dorénavant, si je prends en considération son style, la profondeur et la psychologie de ses personnages, et tout autant le portrait de la psychose dont on en trouve l’incarnation dans l’un des personnages principaux. En ce qui aurait trait du Duel de Tchekhov, la sociopathie s’incarne dans un seul personnage principal, parmi les trois protagonistes de base, dont l’action semble se centrer largement sur eux. Les personnages principaux sont Samoilenko, Laievski, et Von Doren. Et Von Doren est le personnage qui deviendra emblématique du portrait de la sociopathie pour Tcheckhov. Dans son ensemble, l’intrigue est celui d’un du...