Le montage au cinéma fut compté comme l’une, parmi plusieurs innovations essentielles pour que le cinéma se reflète tel que l’art que nous connaissons tous et si bien aujourd’hui. C’est par le montage aussi bien qu’avec l’aide de la photographie que l’on parvient à faire le photo-roman, ou nettement le photomontage. Tout un ensemble d’éléments photographiques corroborent à véhiculer une thématique attachée à la conscience et à la psyché du créateur, qu’il veut propager au moyen de son esthétique. Pour un photomontage, c’est l’ordre des choix conscients que l’artiste doit faire, afin que tous les éléments photos découpés à la guise de l’artiste puissent communiquer un même thème, qui subséquemment se doit d’être clair ou non. Le montage dans la Bande Dessinée, est ce qui est au cinéma l’ordre du découpage technique, incluant la condition qu’il y a un scénario que l’on donne au dessinateur expérimenté, où celui-ci va jouer avec la tabularité des cases afin de rendre captivante la B.D. Ma...
NERD POWER ! Pour ceux qui ne sauraient pas ce que ca veut dire "nerd" ou "geek", c'est une insulte préjorative pour désigner un intellectuel. Oui, honnetement, c'est aussi con que cela, et pire encore. Eh oui ! L'une des comédies américaines des années 80 qui s'établit avec d'autres films du meme genre, en explorant le gross-out humor. Ils étaient mieux connus pour des films avec un humour rocambolesque et crasse, ce qui fut extrement populaire avec un public de collégiens et d'étudiants du secondaire. Dans cette meme lignée de films qui porte supposément sur la vie universitaire, ou pour vous faire dégueuler, il y a la grande tradition de National Lampoon's Animal House , Police Academy , Stripes , La Patrouille en Folie sans oublier un classique mordant du genre : Les Tronches ( ou Revenge of the Nerds ). C'est assez dégueulasse comme titre, Les Tronches, qu'est-ce que ca veut dire bordel ? Si on avait une traduction québecoi...
Depuis deux ou trois mois, je m’étais empressé de lire la fameuse nouvelle, presque roman, d’Anton Tchekhov, Le Duel . Pour une nouvelle de Tcheckhov, que ce soit l’un de ses plusieurs nouvelles dans tout l’ensemble de son œuvre qui se départage entre sa dramaturgie et ses nouvelles, elle est immensément un classique. J’adore tout ce qui fait une œuvre de Tchekhov dorénavant, si je prends en considération son style, la profondeur et la psychologie de ses personnages, et tout autant le portrait de la psychose dont on en trouve l’incarnation dans l’un des personnages principaux. En ce qui aurait trait du Duel de Tchekhov, la sociopathie s’incarne dans un seul personnage principal, parmi les trois protagonistes de base, dont l’action semble se centrer largement sur eux. Les personnages principaux sont Samoilenko, Laievski, et Von Doren. Et Von Doren est le personnage qui deviendra emblématique du portrait de la sociopathie pour Tcheckhov. Dans son ensemble, l’intrigue est celui d’un du...