Le montage au cinéma fut compté comme l’une, parmi plusieurs innovations essentielles pour que le cinéma se reflète tel que l’art que nous connaissons tous et si bien aujourd’hui. C’est par le montage aussi bien qu’avec l’aide de la photographie que l’on parvient à faire le photo-roman, ou nettement le photomontage. Tout un ensemble d’éléments photographiques corroborent à véhiculer une thématique attachée à la conscience et à la psyché du créateur, qu’il veut propager au moyen de son esthétique. Pour un photomontage, c’est l’ordre des choix conscients que l’artiste doit faire, afin que tous les éléments photos découpés à la guise de l’artiste puissent communiquer un même thème, qui subséquemment se doit d’être clair ou non. Le montage dans la Bande Dessinée, est ce qui est au cinéma l’ordre du découpage technique, incluant la condition qu’il y a un scénario que l’on donne au dessinateur expérimenté, où celui-ci va jouer avec la tabularité des cases afin de rendre captivante la B.D. Ma...
Je vous laisse avec ceci, c'est l'introduction et la conclusion de mon travail sur la télévision. Si vous voulez tout le texte au complet, vous n'aurez qu'a m'en glisser un mot sur ma section des commentaires. INTRODUCTION Depuis que l’univers des télécommunications a pris naissance au premier tournant du XXe siècle, nous avons cherché des solutions afin de rendre notre voisin ou notre prochain beaucoup plus près de nous, que l’on se devait. Nous avons voulu poursuivre l’information et le divertissement à l’aide des médias anciens, tels que le théâtre, les arts, la littérature et le journalisme au XIXe siècle. Par ailleurs, les communications dites sérieuses, dans l’exemple du cinéma, de la radio et du journalisme, ont suivi leur cours naturel, afin de s’installer dans une informatisation technologique des médias. C’est ce que nous connaissons maintenant, au siècle actuel : le multimédia, où à l’aide de l’informatique nous acheminons l’écrit, l’image, la musique, la...
La nuit, Batman survole toute la splendeur de Gotham, en effectuant des sauts et des prouesses sur les toits des gratte-ciels et des bâtiments. Dans un quartier sombre, il scrute les criminels du haut d’un buste, sur un haut bâtiment, qui lui sert de perchoir. À un certain moment, il constate une demoiselle cosmopolitaine prise au piège dans un cul-de-sac de ruelle, par des voleurs et des truands. Ils l’encerclent. Batman vole vers le bas avec son bathook, et pourfend les voleurs, les rendant inaptes au combat et bons pour l’aile des soins intensifs. La demoiselle d’une vingtaine d’années, rouquine, habillée dans une robe cocktail rouge écarlate, dans le genre de Jessica Rabbit, prend dans les bras son sauveur, Batman. Les voleurs minables sont encore au sol, roués de coups. LA VICTIME : Oh ! mon beau monsieur Christian Bale… Euh, je veux dire Batman. Vous m’avez sauvé d’une horrible prémisse. (Elle caresse la peau de sa main sur le buste poitrail de son amure) Ah non… Câline… (se chuc...