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Affichage des messages du août, 2011

L'artiste qui n'est plus (Philo de l'art)

Alors, vu que tous les éléments de la nature se sont ligués contre moi afin de m’empêcher de vous fournir une critique puisque je vais à mon cinéma sans ma voiture, j’en profite pour vous écrire un article intimiste sur ce que je suis. Si on peut vraiment prononcer cela ainsi. Voilà trois jours, j’avais fait comme une déclaration à l’emporte-pièce, sur Twitter que j’étais « un artiste qui ne s’acceptait plus comme un artiste ». Cet article-ci m’a été quelque peu inspiré par Renart Léveillé, le caricaturiste et blogueur, et je vais tenter de répondre à cela du mieux que je peux finalement. Certes, je dis ceci, parce que je suis comme un artiste qui serait finalement écoeuré du milieu artistique au Québec, et de ce fait, être un artiste. Car, être un artiste au Québec ne signifie pas grand-chose, lorsque l’on ne connaît aucun succès. Lorsque l’on choisit de vivre une carrière d’artiste, on se doit de vivre constamment dans le regard des autres, jusque vers la fin de cette dite carrièr

Chron.litteraire- Tropique du Cancer par Henry Miller -critique (2001)- EN ANGLAIS

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En 2001, j'écrivais des critiques anglaises, démontrant en quelque sorte ma versatilité dans les langues, ceci est un exemple de chronique que j'avais écrit sur le site de Livevideo.com , puis par la suite, j'ai supprimé mon compte de làbas. Je ne sais si c'était aussi bon en Français, mais ce qui est certain, sont que mes textes anglais sont beaucoup courts que mes textes actuels dans la longueur des mots. Alors, j'ai déniché de mes archives, cette critique sur Henry Miller, puisqu'en 2001, j'explorais largement ses deux livres, Tropique du Cancer et Tropique du Capricorne , et pour finir Max et les Phagocytes .  Chief justice Micheal Musmanno proclaimed this, whenever he was talking about this famous book, in question, going along the lines of :  "Cancer" (as the book was then called before) is not a book, it's a cesspool, an open sewer, a pit of putrefaction, a slimy gathering of all that is rotten in the debris of human

À la défense d'Eraserhead(1977) de David Lynch

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Tout d'abord, c'est ma première défense contre une critique virulente d'un chef-d'oeuvre que j'affectionne particulièrement, Eraserhead , scénarisé et réalisé par David Lynch en 1977, son premier film produit dans la vingtaine. J'y compte bien d'en faire énormément, même si cela serait mon premier dans le genre, pour plusieurs. C'est une critique d'Emer Prevost, natif du Wisconsin aux États-Unis, un vlog réalisé dans le cadre de sa série webtélé, Reaction & Review , dont vous verrez la vidéo ici. Ce qui m'avait principalement subjugué dans sa critique, serait le fait que pour lui, le cinéma ne devrait être seulement que du divertissement. Tout le cinéma mondial ne devrait faire que du divertissement comme le cinéma hollywoodien, ce qui n'est pas le cas et ne sera jamais le cas d'ailleurs. Ensuite, il discourait que le film ne contenait pas d'intrigue ou histoire propre et véritable, ce qui est néanmoins faux. Certes, Eraser

La série de films Destination Ultime ou Final Destination, ou "whatever evenly"

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Bon, c'est probablement mon premier article sur le cinéma, depuis que je suis revenu des vacances. Alors veuillez excuser le côté vite fait ou bâclé du morceau journalistique, en question. Or, tout compte fait, je ne me reproche rien, et je ne m'excuse pas d'ailleurs, rongez votre frein si vous lisez des erreurs, s.v.p. Le cinquième volet de la désuète série, Final Destination 5 , aurait pris comme un ouragan l'affiche dans nos cinémas, près et ridiculement loin de chez nous.  Tandis que moi, j'ai observé le premier, et cela me suffit amplement, parce que le simple fait de voir un film qui n'est rien d'autre qu'une série d'accidents freaks, tout aussi bizarres qu'invraisemblables, n'incarne pas ma tasse de thé. Bref, je ne saurai boire de ce thé, car je n'aime pas encore les champs de plantation dont il proviendrait, et cela à jamais. Le premier Final Destination se voulait un film unique en son genre, c'est à dire que l'on

Hollow Man(2000) - Bande Annonce de Maxime Laperle

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Une bande annonce que j'ai monté simplement pour m'amuser, et aussi parce que j'adore le travail incroyable de Paul Verhoeven, c'est vraiment un cinéaste incroyable. Je le respecte beaucoup, alors j'ai décidé cette bande-annonce qui va se retrouver parmi des milliers, j'en doute. En faisant ceci, je veux simplement communiquer ma passion pour le cinéma de Verhoeven, en relatant en grands raccourcis l'histoire du film en deux minutes. C'est pour cela que j'aime le montage, c'est de l'écriture et on écrit un film à sa façon. Mais quand je me compare, je crois qu'il y a déja mieux comme effets spéciaux pour les bandes annonces quand on considère mes maigres moyens. ML Le 18 août 2011

Le procès Turcotte

Étant donné que l'on patauge dans un terrain pas mal glissant, et que ce fut un sujet qui a été attaqué par tous les journalistes de toutes les sphères au Québec. Je ne pouvais m'empêcher de donner ma part des choses, de ce que je savais sur le procès Guy Turcotte en examinant l'actualité, ainsi que son verdict quasi-infâme pour tout le monde. Le jury en somme, a probablement subit les flammes d'un public révolté et dont le même public en serait devant la plaidoirie de la folie pour l'avocat de Guy Turcotte, le Me Pierre Poupart. Le procès fut un terrain assez glissant pour des humoristes, qui auraient réagi dans l'effervescence et la chaleur de leur passion devant ce qui semblerait pour eux de la plus profane des injustices. Dans cette réaction, on l'a exprimé dans un débat de sourds, au travers des insultes enflammées, personnelles et passionnelles. On ne peut savoir de tout ce qui se passe durant un procès, puisqu'un tribunal est un lieu solennel

Mes Vacances, 2011 - Partie 2 - Une passion simplee

"I've been meaning to tell you I look at you and I fantasize  You're mine tonight And I've got you in my sights with these Hungry Eyes One look at you and I can't disguise Hungry Eyes I feel the magic between you and I"  - Eric Carmen On doit être assez fournit financièrement, rien que pour effectuer le voyage, parce que tout comme dans la comparaison mentionnée, on embarque dans une longue quête en voiture pour le plaisir et la distraction aquatique des plus totales. Puis finalement, on y arrive, à destination, en subissant un long périple ennuyant sur la route. Or, maintenant outrepassons vers le vif du sujet, mes histoires de vacances. Une passion simple Ma première anecdote consiste à vous expliquer que j'ai esquivé de justesse la rage de jalousie d'un camionneur. Une chance que je ne l'ai pas subit, sinon ç'aurait été la colère d'une grosse pièce d'homme qui me serait effondré dessus. En vous relatant l

Mes Vacances, 2011 - Partie 1 - Un grand départ

" Take me home tonight I don't want to let you go  to see the light Take me home tonight Listen honey, just like Ronny said Be my little Baby" - Eddie Money Je viens tout simplement de revenir. M'aurait on manqué parmi au mieux d'entre vous ? Moi pas, (bien non je plaisante). Si ce n'est pas le cas pour vous, bien vos raisons restent malgré tout les vôtres et je ne veux rien savoir. Puisque vous êtes le lectorat et non mes proches, ce qui est sûr, serait que vous allez retourner dans le petit gris banal et quotidien de vos vies respectives, tandis que moi je vais toujours vouloir faire mieux afin que ma vie ne soit jamais grise. Bon, résumons mes périples de vacances, parce que j'assume le fait que je vous ai assez fait chier, surtout dans la franche rigolade. Or, il m'arrive de relater assez hâtivement à mon très fidèle lectorat de mes grandes expéditions urbaines vers la plage et ce en voyageant jusque vers des stations balnéaires, en voiture.