Le blogue de Maxime Laperle

D'un seul regret, à la suite de vous avoir posté ma dernière partie d'épisode de ma web-série édulcorée , qui pourrait soit tomber dans l'oubli le plus nauséeux et total, ou soit acclamé par un public culte, je dois partir. Ce même public culte pourrait en faire de ce qu'elle veut de ma web-série, que ce serait pour lui conférer une admiration culte, jusqu'à en faire des festivals TancrèdeFest , tout comme pour le film culte des frères Coen, The Big Lebowski . Pour ce film de bonne qualité des frères Coen, les fans du film, lui vénérant une adulation propre, vont essayer d'organiser des LebowskiFest , en se costumant comme leur personnage préféré du film. De toute manière, si vous n'avez jamais vu The Big Lebowski , à l'opposé de moi qui l'aurait vu des centaines de fois, allez donc courir pour voir ce film, puisque vous n'allez rien comprendre de ce billet. Alors, on en déduisait que presque tous les fans s'habillaient en tant que le per

On ne pouvait pas trop quoi en dire, du pourquoi qu'il semblait si bizarre. Pour tout le monde, incluant le barman, il était louche, tout simplement pour être louche, dû probablement à cause qu'il semblait sous l'influence des drogues ou amphétamines les plus fortes et néfastes. À l’œil, en pénétrant les lieux, il était déjà loin d'être à jeun, semblerait-il. Mais plus parfaitement, il était en contrôle complet de ses moyens, pour ne pas tituber dans sa démarche, ce qui n'excluait pas le fait qu'il n'avait décidemment pas toute sa tête. Autrement, lorsque l'on est à Montréal, n'importe quel client ne remarque rien de bizarre et on continue dans nos petites affaires de beuverie, ce qui ne changea pas drastiquement l'ambiance, que ce soit pour n'importe quel "trou" au centre-ville. Cangrèle commençait déjà à remarquer l'étranger, de sa place, qui s'approchait de l'une des tables vacantes, tout prêt à se faire servir.  L&

Hé oui, c'est court, vous vous attendiez à quoi Autant Emporte Le Vent . Bien c'est un premier petit film, qu'il fallait donner l'apparence d'un rêve avec moi, comme acteur principal, c'est de courte durée. Le tournage fut tout autant rapide, mais c'était bon. Tourné en DV en tout cas. Je l'apelle Max Le Silencieux, à cause de l'atmosphère Kevin Smith, que le film dégage.

Si vous avez déjà visité les États-Unis, tout comme moi d'ailleurs à profusion, vous saurez sans doute que l'on donne des énorme drinks de café que l'on sert au 7-Eleven. Si vous ne connaissez pas encore le 7-Eleven, eh bien je vous plains un peu, parce que c'est mille fois mieux qu'un dépanneur. Et c'est mille fois plus propre, qu'un dépanneur moyen. C'est aussi mille fois moins escroc, mais je digresse. La taille qu'ils ont peuvent avoir la caractéristique d'un tonneau, et puis on se demande: est-ce que c'est si nécessaire que cela, que j'ai besoin à ce point de là de caféine dans le système afin de bien fonctionner comme du monde, durant mes temps au bureau, où je me dois me concentrer. Étonnamment, est-ce que ce serait sain de stimuler un tant besoin de caféine ? Mais on le sait tous ou presque, que les États-Unis, c'est la surconsommation de manière magistrale. Autrement, dès que l'on le fast-food, si on remarque au Québec

Tancrède sort de sa voiture, stationné en parallèle dans les parcomètres pour deux heures, près de la station Berri-UQAM, pour aller vers une bar terrasse, nommée Le Solaris du Quartier Latin, à Montréal. Ce n'est pas une nuit comme tous les autres nuits, puisque le ciel mélangeait le courroux des nuages orageux qui se voulaient la pleine tentation des averses, encore coulantes dans les torrents glaciaux, ce qui affectait paisiblement l'air humide et chaude de la nuit d'été. Tancrède fut accompagné du même effet par Cangrèle, et elle fut habillée pour l'été, comme pour le soir sans trop de ménagement. Ce fut une robe d'été où elle se devait d'avoir une apparence, aussi puissante que belle. Sa gorge fut mise en valeur, comme proie maligne pour les hommes de Montréal, aussi débridés qu'ils peuvent être ratoureux. Ses jambes furent mises en extase, comme pour l'objet de répulsion pour de nombreuses matrones des bars et des tavernes de St-Denis. On se saoul

Comme toujours, Tancrède ne trouve absolument rien quoi faire. Or maintenant, il se retrouve sur son balcon, assis sur une chaise pliante, tout en sirotant son bock de café noir, qui dépose soigneusement par terre à chaque gorgée. Une femme sort de chez lui, mais ce n'est pas une connaissance de Tancrède, la femme s'assoit à côté de lui, sur une autre chaise pliante, déployée. La femme se nommerait Cangrèle, et c'est une copine de deux semaines. Elle regarde Tancrède, en tournant son corps vers lui, habillée en grand chemisier très fin, laissant découvrir le dessus de ses larges seins rebondis, encore gros et ineffables. Cangrèle est aussi coiffée d'un large chapeau lui couvrant à peine les yeux et la moitié de son front. Et ils discutent assez paisiblement, pendant que deux camions de déménageurs, celui du Clan Panneton , et de La Capitale , s'occupent de faire déménager des locataires, restant des duplex avoisinants. CANGRÈLE: Pis c'est la plate, la Fête d