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Affichage des messages du avril, 2011

Le marriage royal : Kate Middleton et William Wales, (ou William le prince de Galles, ou juste prince la tsé) - Humour

Voulez-vous savoir ce que je pense du marriage royal ? Bien ça va être exactement cela: exactement rien. Sérieusement, j'en pense vraiment rien. Même les mariages qui arrivent dans ma vie, je m'emmerde copieusement si on m'invite, alors il ne faut jamais m'inviter. Non je ne pleure pas, je m'embête, parce que vraiment c'est justement macho de s'embêter à un mariage quand on n'est pas vraiment rien, même pas le best man. Je ne suis pas non plus un "wedding crasher", si cela ne pouvait aucunement vous rassurer. Alors, c'est ça. J'ai juste RIEN à dire, vraiment. M.L Le 30 avril 2011

Bon, je viens de réparer mon Internet - B.Quickie

M'ouais, cela commençait sérieusement à m'inquiéter désormais. Mais je vous écris en ce moment, et mes inquiétudes sont dissipés. J'ai débuggé massivement ma connexion Internet, et je ne vous dis pas comment: secret d'étudiant en programmation internet et informatique. Mais ce qui est sûr, est que je vais revenir avec un article : la critique de Supergirl (1984), une vraie merde à en devenir. M.L Le 30 avril 2011

Le B.S. Instruit - II (Deuxième poésie sur le blogue)

Comme le personnage de Patrick Huard, Rogatien Dubois Jr le dit lui-même: "Un artiste, c'est un B.S, mais instruit." À cette déclaration d'un si rustre individu, il est vrai que je suis seul parmi les truies. Le poète est celui de ses temps gris, comme un chercheur de lumière de par chemins. À mon injuste et frêle condition de pauvre involontaire, Lessivé sur les autres, en suit une putréfaction monétaire. En rédéménageant chez mes parents, le fils prodige s'exauce. En oubliant l'embarras de me retrouver dans une fosse, Je vis de mes propres victuailles financières, Pour le moment. En cherchant les meilleures situations, moins vélléitaires Pour n'importe quel instant. Or, le monde a oublié mes compétences, Alors je me recycle en du renouveau, Puisque je dois devenir le prestige des veaux. Et je voyage à la fois entre récompense et potence. Je suis un "B.S instruit". Selon les préjugés d'un ranci de pourceaux et de truies.

Sur Twitter, la destruction symbolique de la tour d’ivoire

En principe, c’est ce qui sévit toujours sur Twitter depuis son invention durant l’année 2006, soit au Québec ou dans le monde entier. On développe l’impression que les médias sociaux deviennent uniquement les outils de travail des artistes reconnus, ainsi que des hommes politiques. Alors, en devenant l’outil de travail d’un acteur, ce dernier va vouloir savoir en sondant ses admirateurs, qui seraient de-facto ses followers , s’ils ont aimé ou apprécié sa performance de l’heure, ou s’ils la détestent copieusement. Certains acteurs ou artistes décident d’utiliser Facebook ou Twitter, afin de démontrer qu’ils peuvent être « cools » ou « branchés ». En principe, il faut mettre les choses dans leur contexte, en optant pour un certain discernement. Un média social est également un média de masse, tout comme pour les blogues (anonymes ou pas), la télévision et les journaux et les magazines, ainsi que la radio. Elle n’est que « social » dans le sens que l’on obtient une interaction directe av

Mon bilan d’auteur printanier– I (première poésie sur mon blogue)

Depuis qu’ils vivent dans la sépulture de leurs douleurs Ils ne procurent plus d’eux-mêmes la stance de leurs véridiques frayeurs. Ne vivant plus, ne sachant plus, Les artistes contemporains procrastinent dans une déréliction de leurs afflictions et rien de plus. En ce moment, je me retrouve nez à nez vers cette encre vide Dont je m’écris de moi-même, mon désert. Et dans ce désert, non d’affliction, je me redonne le goût à l’infini De mes choses, de mes affaires, qui me retournent avec l’oubli. Pourquoi le monde serait-il beau, et certains si laids ? La fastueuse question de l’inutile dont laquelle je m’en détournerais. Dans la hargne concupiscente et véridique des autres, Je me retrouve avec l’oubli. Je retrouve l’Oubli, par lequel je me retrouve de ma substance et mon désir infinis, En n’étant plus aux solstices de mon printemps de myrtille. J’exulte en mon sein le métier de critique de cinéma, Et lorsque dans mes jugements, je suis de ma personne, entre le miel et

Les 16 génies artistiques du Québec depuis 1900

Voici ma liste personnelle des seize plus grands génies artistiques du Québec, de tous les arts confondues (théâtre, musique, cinéma, arts visuel, philosophie, chanson et littérature ). N'acceptez aucun substitut. 1. Pierre Falardeau (cinéma) 2. Félix Leclerc (chanson) 3. Luc Plamondon (chanson-poésie lyrique) 4. Claude Jutra (cinéma) 5. Robert Lepage (théâtre) 6. Alfred Pelland, Paul-Émile Borduas et Jean-Paul Riopel (arts visuel) 7. Michel Tremblay (théâtre et littérature) 8. Denise Filliatrault (théâtre) 9. Denys Arcand (cinéma) 10. Émile Nelligan (litt-poésie) 11. Michèle Lalonde (poésie) 12. Gaston Miron (poésie) 13. Jean-Pierre Ferland (chanson-poésie lyrique) 14. Jean-Paul Desbiens (philosophie) 15. André Brassard (théâtre) 16. Jean Duceppe (théâtre) Bien c'est ma liste personnelle, elle est toujours discutable bien évidemment. Cela va sans dire. M.L Le 23 avril 2011

J'ADORE les Musicals ! (Mon petit côté de la scène et gay)

Certes, si vous êtes comme moi, aimer les comédies musicales est un signe de parfaite santé mentale, parce que si vous venez vers moi en me disant que vous détester The Phantom of the Paradise, La Mélodie du Bonheur, Cats, Rent, Starmania, The Phantom of the Opera et Notre-Dame de Paris . Bien c'est soit que je vais trouver que vous n'avez aucune conscience des arts, afin de comprendre que l'opéra représente de manière total : l'art. Pour cela que l'on dit qu'une opéra est l'art total: on retrouve tout: la musique la pièce dramatique les acteurs et la mise en scène. Bien sûr il y a des mauvaises comédies musicales, mais on les oublie très rapidement. FAIT INUSITÉ (RUMEUR) SUR LUC PLAMONDON: Il écrit encore ses chansons à la main longue sur des liasses de pages blanches diverses comme un poète du XXIXe siècle (J'étais comme ça une fois, et j'appelais cela la méthode du poète du XXIXe siècle), tout en ne servant pas d'un ordinateur. Souvent il f

La sociopathie chez Tchekhov (essai) – « Le Duel », un classique de la littérature russe

Depuis deux ou trois mois, je m’étais empressé de lire la fameuse nouvelle, presque roman, d’Anton Tchekhov, Le Duel . Pour une nouvelle de Tcheckhov, que ce soit l’un de ses plusieurs nouvelles dans tout l’ensemble de son œuvre qui se départage entre sa dramaturgie et ses nouvelles, elle est immensément un classique. J’adore tout ce qui fait une œuvre de Tchekhov dorénavant, si je prends en considération son style, la profondeur et la psychologie de ses personnages, et tout autant le portrait de la psychose dont on en trouve l’incarnation dans l’un des personnages principaux. En ce qui aurait trait du Duel de Tchekhov, la sociopathie s’incarne dans un seul personnage principal, parmi les trois protagonistes de base, dont l’action semble se centrer largement sur eux. Les personnages principaux sont Samoilenko, Laievski, et Von Doren. Et Von Doren est le personnage qui deviendra emblématique du portrait de la sociopathie pour Tcheckhov. Dans son ensemble, l’intrigue est celui d’un du

« Bon okay, that’s it ! Moé je joue pus ! M’en va avec ma balle… »

Depuis que je viens d’apprendre la fermeture du blogue, sur Twitter, d’une blogueuse que je respectais tout de même assez vivement. Et c’est très dommage, parce que je la lisais assez religieusement merci. Lorsqu’un blogueur décider de fermer son blogue ou son compte de blogue, instinctivement je prends nécessairement pour acquis que l’auteur a été victime de cyber-intimidation ou d’intimidation de la part de n’importe qui, de n’importe quel statut. Heureusement, peut-être que ce n’est pas le cas, et que c’est juste un abandon pure et simple, ce qui est tout autant atrocement dommage. D’un côté, il ne faut jamais priver le monde de notre génie respectif, en blogue, en vlog, en papier ou en kindle . D’un autre côté, c’est probablement un long congé immémoriel afin de pouvoir se ressourcer, avant même d’écrire quoi que ce soit. Mais lorsque je constate que la blogueuse veut produire un livre, à la place d’entretenir un blogue, dans son article de fermeture. Bien je trouve cela tout

Madamisation, Matantisation et « Femmesauxfoyerisation » de la TV au Québec

Bien oui, pour une fois, je discute d’une thématique qui tout de même s’écule assez rapidement, alors je voudrais passer quelques mots sur cette énorme phénomène médiatique, nommé dorénavant la « madamisation » des médias. Depuis que tous les faits ont été relatés par Stéphane Baillargeon du Devoir.com , je ne me peux m’empêcher d’être complètement d’accord, parce que tout comme phénomène médiatique, cela agit un peu comme un constat de société nord-américaine. Il me semble que je n’écoute plus la télévision de façon régulière, tout en suivant les grandes séries telles que Les Sopranos et Lost , que j’adore excessivement à l’extrême. Je vais juste à ne plus vouloir écouter la télévision, mais seulement pour tous les samedis soir, où j’écoute assez religieusement SNL . Bon okay, je ne l’écoute pas vraiment religieusement, à vrai dire. Cependant, je m’éloigne le plus possible de la télévision de jour, parce qu’entre autre, c’est destiné pour les femmes. D’autant plus, je ne trouve mêm

Mes goûts excessivement cul-cul pour la musique Années 80 (cul-cul pour les autres, on s'entend)

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Mes goûts qui seraient cul-cul pour les personnes de ma propre génération (génération Y), hélas. À part de cela, je suis toujours fier de ce que j'aime en arts et musique, au grand dam de tout le monde. Il faut bien que je sois fier de ce que j'aime, je suis critique de toute manière. Bien tout ce que je peux dire, est ce que ça vieillit très mal la musique années 80, en parlant de certaines chansons. M.L

Je hais les talkshows français. Vraiment. (Humour)

En ce moment, il est 22heures, à 47 minutes, et je viens de finir un plat de sphaghettis aux tomates, avec une large canette de Red Bull . Je suis en train de carburer ma chronique humoristique avec ce qu’il me reste dans le moment de Red Bull dans le corps. J’aurais dû boire du vin rouge, mais cela ne fait rien. Régalez-vous donc, c’est le seul moment de blogue personnel que vous allez assister comme lecture, en longtemps. Non, je n’aime pas, voir même aucunement, les talkshows québécois ou français, mainstreams et hypermédiatisés, tels que TLMEP (Tout le monde en parle) au Québec, et du côté de la France, On n’est pas couché, Fogiel, Morandini et autres, et n’importe quoi. Au Québec, c’est tout simplement la copie carbone du concept d’émission le soir de talkshow à table ronde, créé et animé par Thierry Ardisson. Or maintenant, au Québec, il faut trouver l’animateur le plus morveux, le plus pince sans rire et prétentieux, afin de bien savoir vitupérer dans l’insulte feinte et n

« Les Roux » - websérie de David Paradis - Une chasse absurde de roux, un racisme absurde de roux.

En voyant tous les cinq épisodes d’un seul jet, je ne savais pas trop quoi penser ou quoi dire, puisque l’on essaie d’exercer une discrimination fictive dans un univers fictif, celui de David Paradis, étant lui-même un rouquin. Dans cette websérie, on rentre de plein fouet dans un humour absurde, or ce même humour arrive à s’user très facilement. Ce n’est pas le genre d’humour que l’on rit sporadiquement à gorge déployée, malgré que l’on constate quelques gags visuels, jusqu'a très peu, qui sont quelquefois hilarantes. Ce qui prend l'issu d'une thématique, en entourant certains personnages, serait en sorte une discrimination des roux et des rouquins, de toutes origines confondues. Pour une discrimination probable qui existerait dans cette série, c’est tellement farfelu et tellement con comme racisme social et ordinaire, que l’on éprouve une certaine misère afin de lui reconnaître son humour. Lorsque la série devient, soit idiot ou soit drôle, au gré de l’écriture des épisod

Evil Dead : Le Musical / Mise en scène : Christopher Bond, Créé par Christopher Bond et George Reinblatt – Un musical ? Pourquoi vraiment.

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Tout d’abord, je me demandais si un projet comme celui-ci pouvait s’avérer à être une bonne idée. Quelque part, oui et non, parce que pour une chose, est-ce que c’est si nécessaire que cela que de toucher à un classique de l’horreur ? Le classique de l’horreur en question serait The Evil Dead , ou Evil Dead , écrit et réalisé par un jeune Sam Raimi dans la vingtaine, vers 1981 avec un groupe d’amis. L’un des amis de Raimi, interprétant à jamais le rôle d’Ash dans ce film, fut le très cabotin Bruce Campbell, un acteur qui se spécialise à travailler sérieusement, tout en surjouant dans son jeu au gré de ses caprices. Campbell est très comique, certes mais malgré son goût prononcé pour le drame, Campbell est un acteur biaisé très défavorablement par Hollywood. Tout ce que je peux voir en Bruce Campbell, serait le potentiel gaspillé en cinéma, puisqu’après tout comme acteur, il est d’une présence et d’un charisme déments comme jeune premier, et le détient encore, malgré son embonpoint p

KICKASSIA! / Réal et Scén : Douglas Walker - Walker, un René Clair en puissance de sa vieille jeunesse: un film dadaïste

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Souvent, il m’arrive de contempler des films qui sortent des normes et des conventions, et ce film de Douglas Walker ne fait pas exception à la règle. Que dire à propos de ce film, tandis que toute la surréalité pourrait en découler en un seul jet, en nous balançant à la figure, une folie pure de l’image et de l’histoire ? Le premier film de Walker est précisément cela, une énorme folie commise dans l’excessivité de ses personnages. Walker possède un mépris bestial pour le récit avec une narration logique et efficace, puisqu’il ne cherchait pas la banalité de l’histoire conventionnelle. Il recherche plutôt la démence humoristique des personnages, surtout si c’est lui-même qui interprète les personnages. Ce film de Douglas Walker est une longue et grande folie exacerbée, enfantine et pure, et qui ne possède aucune restriction avec ses envolées et licences artistiques et suréelles. Certes, c’est une très longue folie en son contenu, mais qui est merveilleusement bien réalisée. Nous

La problématique Bertrand Cantat

Vu que l’on peut être soi-même dans les arts, je ne peux me fermer les yeux devant l’implacable destin tonitruant et torturé d’un seul homme qui incarne en ce moment le récipiendaire d’une foule rageuse. Cantat ne composera point pour la pièce tragique Cycles de femmes , une pièce du presque inestimable Wadji Mouawad, à ce que l’on m’a dit ou à ce que l’on aurait prévu. Une pièce de Wadji Mouawad qui serait sous n’importe quel point de vue, emblématique de la vie de Cantat, jusqu’à ce jour. Une belle pièce de Mouawad, qui serait interprété au TNM, se voulant le miroir propre de la vie d’éclat et de chute de Cantat, à l'entremis de sa musique. Bertrand Cantat, à plus forte raison des foules mugissantes comme les bêtes et les rapaces d’un procès populaire, n’émulera pas sa propre vie en interprétant un rôle quelconque, de soutien ou éponymique. Cantat, après avoir purgé sa peine, n’a nécessairement plus de carrière. Ce que l’on recommande à un artiste, est de savoir plaire à tout

Cheap (2005)/Réal et Scén :Brad Jones – Un premier film foireux

Le premier film indépendant du cinéaste, natif de l’Illinois, Brad Jones, et tout comme son titre l’indique, c’est fait assez cheap . Pour le premier film de Brad Jones, en tant que réalisateur, scénariste et acteur, c’est un film assez foireux en effet. Le long-métrage est beaucoup plus bas en rapport de sa qualité que la plupart de ses vidéos de critique sur son site. Une qualité qui reste encore supérieure. De plus, ses vidéos de critique de cinéma sont conçus à travers d’un personnage snobinard, nommé The Cinema Snob. Le personnage lui-même s’inspire et parodie à son tour de tous les critiques condescendants new-yorkais en cinéma, alors pour cette raison il est plus facile pour moi de reconnaître les sources diverses de parodies. Dans ses vidéos de critique, Brad Jones interprète ce personnage de critique snobinard pour discuter hautainement de films exploitation, et les films de série B et Z. Le résultat en est qu’un bon tour comique, très divertissant. On peut trouver le film d

John Williams, le compositeur de Spielberg et de Lucas - Chansons préférées

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Personne ne peut rester insensible face à un autre génie musical, John Williams, dont celui-ci est définitivement devenu le compositeur classique de notre siècle. Il est l'incarnation propre de tout ce que la puissance musicale fait de mieux, rien qu'avec la musique classique, et toute sa musique est enivrante. D'autant plus, après avoir acheté toutes les collections possibles de Star Wars en VHS DVD et LaserDisc, j'ai acheté toutes les versions des trames sonores de John Williams, soit en vynille, en CD ou autres. C'est fou comment sa musique nous rentre dans l'âme pour s'y introduire à tout jamais, que ce soit Star Wars , ET ou la trilogie Indiana Jones . Mais pour moi, la musique de John Williams incarne approximativement 50% du génie complet d'un film de Steven Spielberg. Le chef d'orchestre dans la quatrième vidéo est John Williams lui-même. Une très belle musique, qui nous réveille d'aplomb le matin. M.L

Basil Poledouris/ The Atlantean Sword/Riders of Doom/TheAnvilofCrom - Chansons préférées #99, #98 et #97

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Le simple fait de les écouter même simultanément dans un grand crash sonore sur un grand stéréo, est d'une jouissance sonore et musicale absolue. Pour deux chansons issue de la même trame sonore du film de John Milius, Conan The Barbarian , Basil Poledouris nous exploite toute la versatilité de son génie musicale.On a envie subitement de conquérir le monde, à la suite d'avoir écouté cela. Même si j'étais dans un film, le thème de Conan serait mon leitmotiv dans la vraie vie afin de sembler héroique. Poledouris détient un sens sauvage de la musicalité et qui se répercute aisément dans son large travail musical, pour les musiques de film : Robocop , Flesh and Blood . Poledouris marque son art d'une grande férocité et d'une grande subtilité dans les accords, mélangeant le théâtral à la musique. M.L

Intimidation et Interprétation; la fureur et le silence. (Suite de l’affaire JF Champagne)

Non très bref retour sur Jeff Champagne Durant tout le battage médiatique qui s’est perpétué à l’endroit d’une seule personne, tout comme s’il était durant la semaine, un damné de la terre, marqué au fer rouge. Je ne pouvais m’empêcher de penser aux méthodes du petit pirate de Twitter @jeffsabres, quand bien même qu’un expert en multimédia, aurait pu remarquer qu’il fut probablement un programmeur de haut niveau, mais en cachant ses connaissances aux médias. En considérant ses méthodes de « hacking », je suis venu à mes propres constatations. En ayant quelques connaissances de base en Javascript ou en ECMAScript, qui sont des langages de programmation, Champagne pouvait à son tour créer et reproduire à l’infini des comptes Twitter, tout autant qu’il pouvait envoyer en toute simultanéité des nombres records de courriel aux boîtes de célébrités. Dans l’espace de 6 millisecondes, qui seraient 6 millièmes de seconde, on aurait pu envoyer un million de messages courriels à l’endroi