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Affichage des messages du mars, 2011

Un Worchon = un torchon de média électronique web

Et c'est mon tout nouveau néo-logisme à la Michelle Blanc. Je trouve ça à la fois très inventif et très condensé comme mot, on résume tout dans la simplicité. Pour autant que je sache, cela explique des milliers de sites web et de blogues qui m'affligent jour après jour. M.L Le 30 mars 2011

L’arrestation de Jean-François Champagne, mieux connu sous le nom de @jeffsabres

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Il est premièrement de l’une des premières crises de cyber-intimidation qui se perpétue sur le net, et qui avait connu une dénonciation collective parmi des figures illustres de Twitter. Guy A. Lepage aurait porté plainte à l’endroit de Jeff Champagne, lorsque l’on considère du tissu de menaces et d’injures que correspond à l’unique feed de ses tweets.Mise à part de M. Lepage, plusieurs auraient dénoncé Jeff Champagne, parmi probablement ses victimes internautes, à la police. Etonnamment, le suspect aurait trouvé le futile plaisir d’harceler des célébrités sur Twitter, tout comme dans l’exemple de Guy. A Lepage, ainsi que des journalistes et des comédiens et des artistes, qui restent encore sous une voile mince de discrétion, voulant encore rester dans l’anonymat. Or également, la manifesation des attaques cybernautiques de Champagne fut conclusif dans le choix de victimes, tout comme pour des bêtes noires où il se complaisait à harceler une seule personne, comme d'autres, in

SuckerPunch/Réal :Zack Snyder, Scén :Zack Snyder et Steven Shibuya – Dementia Profundis dans le visuel snyderien

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Morale désuète de ce film : Survit en te battant corps et âme pour chercher ta liberté. Surtout lorsque l’on veut se battre pour cette liberté dans l’essor de notre imaginaire, ce qui est très contre-productif. Par où il faudrait commencer avec ce tout nouveau film de Snyder, parce que le film est d’une démence profonde en tout, soit au niveau de son style visuel et de son histoire ? Je ne suis pas vraiment certain de ce que j’ai vu voilà une heure et demie fut vraiment un film, ou tout simplement le long rêve sinueux empli de voltige et d’irréalité de Snyder. La réalisation Zack Snyder, avec ce film, est devenu un maître en arts plastiques, parce que toute la valeur de son film repose uniquement sur la beauté plastique de sa cinématographie et de ses énormes séquences d’action, où nous assistons aux rêves de combat singuliers de son personnage principal, Baby Doll, incarné par Emily Browning. Le style du film réside dans sa grande imprégnation de l’anime japonais, et nous

Le blogueur: M.L et son sanctuaire

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C'est moi devant mon ordi, en train de remanier quelques corrections d'articles critiques. Merde un Iphone fait des photos de qualité douteuse.

Les Blogues Bonneville: Blogger et Wordpress et mon hiatus temporaire (Mon 100e article!)

Bien sûr, cet article sera tout aussi vide, creux, et ininformatif que les 99 autres qui l’ont précédés. Je suis absolument sûr que vous allez rien n’apprendre. Enfin, j’espère. Tout d’abord, je ne voudrais pas procurer béatement l’appréhension que je serais en train de mordre la main qui me nourrit. Loin de là, en effet! Parce qu’en principe, je voudrais que Blogger et Wordpress puissent faire des blogues où il serait possible d’expansionner les méthodes pour faire des articles vidéos ou podcasts, afin qu’ils deviennent intéressants. En ne cherchant pas de faire la meilleure des impressions au près des informaticiens et programmeurs de Blogger, mais je me demande pourquoi c’est si nul que cela, télécharger dans mon blogue des vidéos de mes podcasts (M’ouais, devrait-on dire)?  Pourquoi c’est si long et si nul de télécharger mes podcasts, en attendant à peu près trois heures pour que cela soit complètement intégré au site? Certes, vu de l’échec persistant de mon podcast sur le gorn

La chanson "What is Love" d'Haddaway en 8-bit, et autres

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Avez-vous déjà entendu vos chansons favorites en 8 bit, c'est à dire en musique de jeux vidéos ou dans un cas comme celui-ci, en musique de Nintendo NES. Bien maintenant vous pouvez gracieuseté de Youtube, (comme toujours), ou aller spécifiquement sur la chaine de Youtube, ou des musiciens font des versions de chanson en 8-bit. Le terme "8-bit" serait à proprement parler, la musique de Nintendo, une très vieille console pour vous autres les jeunes. Et ça ne me rajeunit pas. De toute manière, ça déménage ! Parce que c'est une transposition assez fidèle de la chanson dance d'Haddaway, connu durant les années 90, et ce fut mon temps propre de ma jeunesse de boîtes de nuit, dans le style du Club LaBoom. Une chanson qui fut repopularisée par le film Night at the Roxbury . C'est super pour travailler au bureau lorsque l'on veut programmer ou designer des jeux vidéos. Oui qui l'eut cru, le 8-bit est capable de produire des versions intéressantes. M.L

Le thème d'Arthur(The Best You Can Do) de Christopher Cross - Chansons préférées #100

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Pour une raison que j'ignore j'adore de tout coeur cette chanson. Et je crois que j'ai absolument raison là dessus. C'est une chanson absolument parfaite et profonde, qui relate de nos petits déboires de voyage. C'est ce que je trouve. Le plus important, en discutant du film original Arthur avec Dudley Moore , et non le remake avec Russel Brand, en serait sa description propre : une chanson qui traduit complètement tous les états d'âme du personnage principal Arthur de la manière la plus jazzé possible. Certains ne le compte pas, parce que c'est la chanson d'un film et non un chanson d'album, et ça c'est de la foutaise abyssale. Une bonne chanson ça reste une très bonne chanson venant d'un film d'un ascenceur, ou d'un album ou d'un show XXX, okay ? M.L Le 24 mars 2011

Le Discours du Roi/Réal : Tom Hooper et Scén :David Seidler

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(N.B: Maudit, je l'ai fait un peu à la rate, je dirais, ou non probablement on verra.) Depuis que je l’ai vu, justement au milieu de ma soirée, je ne pouvais pas croire comment ce film m’a laissé une assez longue impression. Je ne voulais point que le film puisse se terminer en toutes circonstances. Si la durée de projection avait été de 50 ans, j’aurais peut-être été dans cette salle pendant 50 ans, parce que je voulais tellement que ce film soit sans fin. Que dire, pour un film définitivement oscarisé sous toutes ses coutures : Meilleure réalisation, Meilleur acteur, (Colin Firth), Meilleur film et Meilleur scénario, je me suis attendu à une terriblement belle expérience. Au début, il fallait comprendre le vrai problème du roi, qui ne semblait pas pour moi comme un énorme problème en soi. Ce n’était rien que sa nervosité et son émotion qui provoquait son bègue. Quand on voit des scènes avec lui-même, ainsi que sa famille, il s’enfourche dans ses mots, mais ne bégaie pas a

Une chanson tellement nulle et ridicule.

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Et c'est cette chanson là, c'est complètement horrible, que j'en ris carrément aux larmes. Quand on écoute ses paroles, on a juste un large sourire ecarquillé et plaqué sur le visage. Elles sont tellement nulles et pourries que les paroles des chansons de Kim Kardashian passent pour du Led Zeppelin. C'est "Defender", du duo Buckner et Garcia, très inconnu jusqu'à aujourd'hui je dirais. Le plus grave, est que c'est une chanson qui s'inspire du fameux jeu d'arcade de Williams, Defender , dont j'en ai mentionné auparavant sur mon article "The King of Kong". La musique reste bonne, à la mesure que c'est écoutable, mais tout comme en ce qui aurait trait des paroles, ce n'est pas très fort. On aurait dit une hémorragie cérébrale teintée d'optimisme ineffable. Je suis tombé sur la chanson par pur hasard, lorsque je me suis mis à faire ma critique sur le film "The King of Kong". Bien je vous le laisse ici,

The King of Kong : A Fistfull of Quarters(2007) – Documentaire de Seth Gordon – être créateur ou joueur ?

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 Pour la première fois, lorsqu’il est question d’aborder une critique comme celle-ci, on se pose sérieusement des questions sur les enjeux sociaux et éthiques sur les protagonistes issus des documentaires. Quand on prend en exemple, le documentaire oscarisé récemment Inside Job réalisé par Charles Ferguson, on discute de l’essor probable d’une corruption dans les firmes ou des trusts banquiers et économiques, tout en voulant expliquer les causes nébuleuses et complexes d’une crise économique mondiale. Une crise financière mondiale qui affecte malencontreusement tous les pays du premier monde, qui sont complètement développés.  Bien sûr, on en fait naturellement un documentaire, parce que tout de même les crises économiques ne se font pas toutes seules. En fait, les crises sont un assortiment et un amalgame de circonstances, de facteurs, et de causes tout à fait incontrôlables. Par conséquent, lorsqu’il est question d’expliquer comment l’économie fonctionne, il faut vulgariser. Or sin

La soirée des Jutra 2011

Dieu du ciel, on ne pourrait réduire l’expérience d’une manière infime, parce que c’était franchement une réussite énormément belle. Tout le spectacle était extraordinairement bien organisé, en ne sentant aucune inflexion d’une anicroche ou d’une erreur de logistique, et en ne sentant aucune longueur ou mollesse dans son rythme. Ce fut une belle expérience, puisque l’on explore notre art merveilleux, à l’ampleur du monde et des Québécois d’origine. C’est la merveille d’un énorme spectacle ultra-léché dans son aspect électronique. Notre cinéma n’est aucunement pauvre, alors on va à fond dans une crise de paillettes, afin de se mouvoir dans un Hollywood qui ne vivra seulement que dans l’espace d’une soirée. L’animation de Sylvie Moreau et de Yves P. Pelletier L’animation est ce qui m’avait le plus marqué de cette soirée, puisque Sylvie Moreau et Yves Pelletier incarnent l’humour dans un confort et dans une maitrise des plus totales. C’est une performance qui est complètement la plus

Les Prix Aurore 2011 (sur Infoman)

À la suite d’avoir observé les Prix Aurore 2011, de Radio-Canada sur Youtube, prenant la place d’une émission traditionnelle d’Infoman, ayant pour cause la maladie de son animateur Jean-René Dufort, j’étais complètement abasourdi. Le pseudo-gala, les Prix Aurore 2011, sont là pour commémorer les dits « plus pires films du cinéma québécois », en leur décernant des prix douteux, tels que Meilleur pire cliché, pire loser, pire film, pire ceci et pire cela. En bref, pour réduire l’émission d’une heure à sa plus simple expression, ce n’était rien d’autre qu’une orgie de bitchage et de mépris, laissant une expérience semblable à celle de la mauvaise pornographie. Les critiques de journaux illustres et de torchons merdiques, ainsi que de la radio, se complaisent tour à tour à mépriser, à humilier et à dégrader des films québécois qui selon leur entendement, seraient les plus pires films en se basant sur des trivialités. Tout ce que l’on sait comme spectateur, est qu’ils méprisent le film

Au Japon : l’après-coup

La fureur de la Nature Il a fallu passer au travers de la boucle infinie des nouvelles sur RDI, afin de constater l’horreur et le macabre de la destruction gratuite et impromptue d’une Mère Nature qui se veut toujours indomptable et sauvage. C’est la terre maudite qui se rebelle et c’est la terre qui clame dans la violence des rochers sa suprématie, à l’endroit du commun des mortels. Regrettablement, le commun des mortels fut les Japonais qui écopèrent le courroux despotique d’une Nature farouche et inassouvie. Ce n’était pas exactement la chronique la plus facile à aborder, parce qu’un désastre naturel qui aurait tout l’apparence d’une apocalypse des cieux, et le fait de pouvoir en parler nécessite beaucoup de délicatesse. Par conséquent, comment approche-t-on un désastre cataclysmique, qui va de mal en pis, afin d’en analyser ses composantes ? Bien, on essaie l’analyse, tout autant que l’on pourrait essayer la franchise brute. Ce fut un séisme sans précédent, où une certaine f

Matte painting - Capitaine Kébec 2013 Montréal Post Apocalyptique PAR MOI

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Un matte painting pou un jeu de console Wii, que j'ai produit pour mon cours de design infographique.

Des élèves qui, comme exercice de rédaction, doivent écrire sur leur « premiere fois »

Pour débuter, il faut avouer que ce fut l’un des premiers articles qui m’a carrément fait rigoler de plaisir, et ceci est l’article en question . Hé oui ! Pour une fois, il reste encore des professeurs au secondaire qui veulent que leurs élèves explorent les contrées éloignées ou inconnues de la séduction et de la sexualité. Il est peut-être fort probable que ces professeurs là, s’ils sont des hommes, seraient des pédophiles ou des idiots franchement, car pourquoi un homme s’intéresserait aux pensées intimes d’un adolescent. On aurait pu tout aussi bien discuter de sexualité, en se versant carrément dans le large côté charnel, ou édulcoré, en voulant donner aux petits travaux d’écolier la substance d’un Raymond Radiguet ou d’un D.H. Lawrence. Or, si on voulait faire du D.H Lawrence dans une école au secondaire, tout autant qu’au collégial au Québec, le professeur de lettres en question, se ferait contempler le trottoir et ceci sans préavis. On traverse un large curriculum littéraire,

Réponse à l’article d’Émilie Dubreuil « Sommes nous que six dans la cité ? »

Pour une première fois, ceci est un blogue qui sera malgré tout une riposte à l’article de Dubreuil, en ce qui concerne s’il y a effectivement rien que six critiques à Montréal. Ceci est l’article de Dubreuil , et maintenant outrepassons à ma réponse, si on le veut bien. Il est fort vrai que l’on peut tout aussi bien en avoir assez des mêmes critiques, car à Montréal, tout comme au Québec en général, j’ai l’impression que ce sont toujours les mêmes qui font de la chronique culturelle. Certes, en tant que journaliste, il faut savoir se démarquer du lot, que ce soit pour n’importe quelle raison d’ambition. Et la raison d’ambition serait ceci : le journalisme à Montréal agit comme une vile maîtresse, tout comme les arts. Le journalisme, c’est sélectif dans la mesure que ça choisit les personnes dont il en façonnera les carrières. Des futurs journalistes peuvent travailler d’arrache-pied, mais ils n’auront pas nécessairement une grande reconnaissance de leur travail. Alors, la reconnais

Chronique sur le "gorno" et spotlight sur le film "Human Centipede"(2009) de Tom Six

Mon premier podcast ever... De toute ma carrière... Voix dramatique: Ce n'est qu'un début.

C'est faitavec les moyens du bord, c'est à dire la scrap de windows movie maker, au lieu de Final Cut Pro. Eh oui je voulais tester un nouvel ensemble d'écouteurs et de micro,gracieuseté de mon frère qui est musicien. J'avais aucune idée quoi dire (ce qui est rare pour une fois), c'est pour ça que ce n'est pas vraiment mémorable. Mais il y a une chanson superbe, très jazzé et très nocturne urbain. In the city de Joe Walsh. M.L