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Affichage des messages du janvier, 2011

Maquette Web - Produit final

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Et ceci est le produit final, enjoy. -ML. Le 31 janvier 2011

Ma Maquette Web- (Cinéma en Chaos) design préliminaire d'un site web sur les films, (page index)

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J'ai décidé de vous le faire partager avec vous, afin de vous démontrer mes talents hors-pair dans le design graphique, en utilisant Adobe Photoshop. C'est la page d'accueil d'un site web, se spécialisant dans les films de séries B. Je crois que vous allez m'en dire des nouvelles, d'ici peu. Ciao -M.L Le 25 janvier 2011

PIERRE FALARDEAU (2010) / Documentaire de Carmen Garcia et German Guttierez

« Après trente ans de mépris et de crachats, j’suis devenu un fou, mais je ne suis pas devenu un fou pour rien. » - Pierre Falardeau , Le Steak Après avoir contemplé le produit final des deux documentaristes, qui s’est écoulé entièrement dans une soixante de minutes, dont moi-même j’avais pris deux minutes de retard en pénétrant la salle silencieusement, je me suis posé la question : « Comment peut-on faire un film (même un documentaire) si moyen à propos d' un homme qui fut si exceptionnel ? » L’expérience était quand même assez affligeante, parce que j’adore Pierre Falardeau. Après Jutra, ce fut le seul au Québec qui était capable de produire du cinéma comme un dieu. Les documentaires de Falardeau, au début de sa carrière, dans un style de « guérilla-filming », étaient des films à thèse avec des partis pris tranchés. Même Le Steak , restait un film à thèse, le boxeur Gaétan Hart était quelque part l’alter ego de Falardeau. Le documentaire des deux documentaristes devient u

Wired (1989)/ Réal : Larry Peerce, Scén : Earl MacRauch, d’après le livre de Bob Woodward

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Pour commencer, il faudrait que je spécifie une chose : je ne commente jamais les blogues des autres. Cela m’arrive très rarement d’ailleurs de répondre aux blogues des autres, en leur laissant un message dans la section des commentaires. Le seul blogue que je commente dessus, serait le mien et rien d’autre. Alors, ne vous attendez pas à me recevoir dans vos commentaires, parce que vous allez attendre très longtemps. Je vous conseille fortement de ne pas retenir votre souffle là-dessus. Je réponds ceci, puisque l’on m’avait posé la question dans un DM. Si un blogue me percute ou heurte suffisamment mes sensibilités afin d’instiguer chez moi une certaine réaction ; bien j’en produis un article sur mon blogue, en citant l’article de la personne, en incorporant des hyperliens de navigation. Un blogue, ça sert à cela. Ne vous faites aucune illusion. D’autant plus, je ne suis pas les blogues personnels de tout le monde. J’en choisis un ou deux, ou peut-être trois pour lire, et c’est proba

L'intro musical (pour un dessin animé) la plus fille, gnangnan et nananne que j'ai jamais entendu au monde.

On parle de l'intro musical de la série de dessins animés, Punky Brewster , réalisé en 1985. Quand j'y pense c'est tellement fille, nana, rose et fuchsia pour un dessin animé, orienté vers les filles évidemment, qu'il faudrait inventer une autre couleur. C'est aberrant. C'est incroyablement mal chanté, par une chanteuse qui a le même timbre d'une poule asthmatique et nasillard. On observe qu'elle a trop voulu imiter Cindy Lauper, mais j'affirmerais toujours que Cindy Lauper reste une meilleure chanteuse, même pour les années 80. Je ne le sais pas, mais je m'imagine un gros homme chauve avec des lunettes dans la trentaine, en train de chanter. Eurk !On ne comprend absolument rien aux paroles. La musique est déplorable. Merde, l'intro c'est carrément le nirvana du kitsch et du cul-cul. Tout est si fille, si niais, si rose, et je connais des jeunes femmes qui avaient écouté la série durant leur jeunesse, et n'avaient pas aimé cela. L

Incidence de vidéo-piratage télévisuel en 1987, surnommée « L’incidence Max Headroom »

L’incidence ( avant de peser sur le bouton « play », ceci peut choquer certains internautes, je préfère vous en aviser.) Le mini-documentaire qui relate de l’incidence Le pirate télé se prénomme « Max Headroom », tout simplement à cause du masque qu’il porte, faisant référence à un personnage d'émission de vidéoclips, Max Headroom interprété par le comique Matt Frewer. C’est con, mais c’est ça. L’événement s’est produit à Chicago, dans une soirée de Novembre 1987. C’est l’histoire complète, du premier pirate ou hacker au monde, que ce soit pour n’importe quel domaine spécifique des communications. Ce ne sera que plus tard, avec l’avènement de l’Internet, que l’on découvrira à proprement parler, de la définition du « cyber-pirate ». Dès que l’on constate que le suspect, qui avait incarné « Max Headroom », vit toujours aux larges des autorités. On se plonge aisément dans la fiction du genre cyberpunk . Oui, littéralement, cela nous pourrait faire penser aux romans de scien

Tarzoon : La Honte de la Jungle(1975)/Réal : Picha et Boris Szulzinger, Scén : Picha et Pierre Bartier

Pour commencer, je me demandais quel bout de ce film ne relevait pas nécessairement la grande partie de sa pornographie softcore en images, afin de vous en révéler un extrait. Le film en soi, afin d’avoir sorti en salles de manière mainstream, avait la cote R (restricted for adults). Eh oui, c’est un film d’animation qui est assez long, durant approximativement 1 heure et 44 mins. On ressent toute la longueur de cette heure, tellement que ce film reste effroyable. Le film par conséquence, plongea dans l’obscurité de l’anonymat, afin que ce dernier soit rehaussé au niveau d’un film culte. Ce fut le premier film d’animation « à scandales », parce que la famille d’Edgar Rice Burroughs, le romancier connu à ce jour comme le créateur de Tarzan, a poursuivi Picha et Szulzinger pour dommages et diffamation du personnage de fiction « Tarzan », créé par leur paternel. La famille ne voulait pas que les producteurs puissent avillir et ternir le personnage légendaire et célèbre de Tarzan, deven

Pour saluer Claude Robinson

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À Claude Robinson Tout d'abord, il faudrait préciser que je ne suis pas un auteur célèbre, or la célébrité pour moi n'aurait aucune espèce d'importance. Tandis que l'on devait prendre en considération la valeur et le contenu de la personne, pourquoi vraiment tenir compte de sa célébrité, ainsi que son influence ? Cela devient une question complètement triviale. Cependant, j'ai gagné par le dû des mois, une maigre notoriété avec mes écrits électroniques. Et ce fut une reconnaissance qui s'est forgée virtuellement, grâce à l'Internet, et surtout les "weblogs". Pour l'époque des années 80, Robinson n'avait pas connu la nouvelle arène des communications qui serait aujourd'hui le Web, lors de la confection de son oeuvre. Or aujourd'hui, durant le temps immémorial de l'électronique, l'Internet est régi par le code criminel, le copyright et le droit d'auteur, et cela à juste raison. Aujourd'hui, je salue le courage d'un

Pas encore une critique du Bye Bye 2010 !??

Hé oui, et là je commence sérieusement à rompre ma relâche, parce que je ne peux pas passer mon temps, sans rien écrire à personne. C’est un peu le vibrant de l’auteur, qui aurait toujours besoin d’une foule, aussi infime qu’elle puisse être. Quelque chose qui serait très impulsif chez moi, voyez-vous. Bien oui, comme tout le monde, je me suis mis à écouter le Bye Bye 2010 , personne d’autre ne l’écoutait dans la maison, et j’étais le seul à le voir. Ce Bye Bye -ci avait réussi à être drôle, surtout lorsque l’on considère que ce fut produit par Véronique Cloutier et Louis Morissette. Autrefois, ils ont oeuvré à la mesure d’un travail, aussi similaire, qui s’est fait deux années plus tôt, avec des résultats de controverse, celui du Bye Bye 2008 . Mais bienheureusement, pour ses créateurs, la nouvelle revue de l’année s’est déroulée sans aucune anicroche de mauvais goût, ce qui susciterait une imbécilité de controverse. Ses auteurs ont produit de la satire politique, mais avec un grand l