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Affichage des messages du décembre, 2010

Mes 11 résolutions pour la nouvelle année de 2011

Eh oui, je casse un peu mon serment de relâche, afin de vous divulguer mes onze résolutions pour la nouvelle année qui viendra vers minuit. Si ce n’est déjà arrivé dans votre fuseau horaire respectif. Voici les onze résolutions, dont je me tâcherai de ne jamais suivre dès que la première occasion se présente. Et elles sont : 1. Avoir un vrai travail, parce que bloguer ne se constitue pas comme une vraie job. 2. Recourir à des arguments pour défendre mon point de vue, plutôt que de diffamer béatement la personne. 3. Tâcher que ma formation présente en multimédia se déroule bien, sans anicroche. 4. Avoir une blonde, tout en délaissant le NES, le SuperNES, le Gameboy, le GameGear, la Sega Genesis, la N64, la Playstation, la Playstation 2, la Playstation 3, la Nintendo DS, Atari 2600, Atari 5200, le Xbox 360, la Wii, et le PC. 5. M’occuper du chien de mon frère, Mikey un gros pitt-bull noir pur, parce que ce dernier m’achète tout le temps des chemises Armani et Calvin Klein pour avoir pris

Black Swan/Réal :Darren Aronofsky Scén : Andrès Heinz, Mark Heyman et John McLaughlin

C’est probablement ma dernière critique avant de prendre véritablement relâche pour les fêtes, et j’essaierai de rendre cette critique la plus bâclée possible, parce que l’on est bel et bien le 24 décembre (i.e le réveillon de Noël). D’autant plus, c’est la dernière critique de l’année 2010, et on va terminer de manière raisonnable, sans trop de flafla. Personne ne me paie pour faire des critiques, alors la qualité ne serait que subjective. Aussi, je veux manger de la dinde Butterball, complètement cuite et à point, et qui est d’une magnifique couleur rouge ambre. Un délice de friandise pour mes prunelles qui deviendra un délice de diable entre mes dents,. Vous voyez, je tiens très à cœur la satisfaction de mon lectorat. C’est un film tout à fait génial. Que ce soit pour la réalisation, la scénarisation et l’interprétation des acteurs principaux, le film d’Aronofsky est parfait sous toutes ses coutures. Or, comme d’habitude, Aronofsky a la bienheureuse manie de nous produire des œu

Joyeuses Fêtes

Mes meilleurs voeux pour Noël, ainsi que pour l'an prochain qui surviendra. Que l'année nouvelle vous apporte la joie, la santé et la prospérité pour cette année 2011. Vivre Noël et le Nouvel An en famille, ou en amis, peut être la plus grande des joies. Mais lorsque l'on les traverse dans la solitude, on ne peut être véritablement seul, puisqu'une autre personne, possiblement seul il ou elle aussi, peut vivre le réveillon dans une autre partie du monde ou d'une ville. Alors, la solitude n'existe plus tout à fait dans l'absolu, rien que la distance vous sépare. Alors, cette année 2010, s'achevant dans les morts poussiéreuses de nos hiers, nous apporta le solde de ses victoires, tout autant au niveau individuel, qu'au niveau planétaire. Elle nous apporta la somme des échecs et des malheurs dans le plus triomphal et le plus tonnant de ses revirements historiques. "Toute vraie histoire s'effectue dans le présent." : comme le dit mon profes

L'éviscération des cultures : les documentaires multiculturels de l'ONF

Au début des années 60, la décennie de la naissance du cinéma québécois, l’Office National du Film fut l’une des premières institutions au Canada à se consacrer au cinéma, par le biais du documentaire. Durant les années 40 et 50, John Grierson, l’un de ses pères fondateurs, innova et perfectionna le cinéma documentaire, étant en compétition farouche avec le cinéma dominant hollywoodien. L’ONF a connu un âge doré en ce qui concernait le cinéma documentaire, ce qui traversa les décennies, ainsi, peut-on dire aussi, le monde. L’institution élabora le documentaire, tout en accomplissant un simple mandat, qui était celui de faire connaître le Canada, à ses concitoyens les Canadiens, tout autant qu’au reste du monde. Vers le milieu des années 90, et le début des années 2000, la pratique du documentaire changea de visage, en sortant de son traditionalisme, afin de mieux se tourner vers la réalité de l’interculturalité et du multiculturalisme. Le multiculturalisme devenait un fait de la vie, d

Les désavantages des concurrents

Préambule: C'est une partie de texte que j'ai écrit, afin de promouvoir un casque d'écoute sans fil en démontrant les failles des concurrents. Bref, ce fut pour un devoir pratique, et ce n'est rien qu'une partie de développement. Un jour, je pourrais peut-être convaincre et inciter un esquimau d'acheter un igloo. En soi, ceci illustre un excellent exemple, de mes compétences en journalisme techno. Le désavantage des concurrents pour notre produit: le casque d'écoute sans fil Les défauts de caractéristiques des autres produits Le premier désavantage que l’on remarque de la plupart des écouteurs qui sont munis d’un fil, est le fait qu’ils sont conçus pour qu’on les écoute à l’intérieur de la maison. Dès que l’on considère les écouteurs, destinés au domaine musical, tout autant que ceux que l’on branche dans les stéréos, ils sont fabriqués pour qu’on les utilise à l’intérieur, et non à l’extérieur. Alors, pour cette raison, il faut surveiller la veille technolo

L’œuvre de Marlowe : Le Juif de Malte (1590), Le Massacre à Paris (1593)

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Durant la grande période historique du théâtre élisabéthain en Angleterre, certains auteurs dramaturgiques ont su marquer leur siècle. Ils élaborèrent davantage sur les principes de la dramaturgie, à la suite de la Renaissance anglaise. La dramaturgie élisabéthaine ouvrit les portes au Classicisme du théâtre en France. Ce fait s’est produit bien avant l’arrivée des dramaturges importants en France, tels que Racine, Corneille et Molière, vers la fin du XVIIIe siècle. En quelque sorte, les auteurs élisabéthains furent les précurseurs du Classicisme français. Shakespeare, Marlowe et Ben Jonson étaient redécouvert par des grands auteurs français, tels que Voltaire et Victor Hugo, selon les siècles encourus. François-Victor Hugo, l’un des fils de Victor Hugo, s’évertua à traduire le plus fidèlement possible les pièces de Shakespeare. L’auteur élisabéthain était devenu au fil du temps le préféré de son père. Mais plus particulièrement, nous devrions nous pencher sur un autre auteur, lorsque

Les présumés "sons de l'enfer"

Tout simplement par hasard, je suis tombé sur une curieuse vidéo. Vous pouvez en faire ce que vous voulez, cela reste à votre discrétion. Mais il va de soi, que cela a suscité grandement ma curiosité. C'est si peu dire, je trouve, parce que la phrase "titiller ma curiosité" reste encore un euphémisme. Enfin bref, je fus consommé d'intrigue pour faire une histoire courte. Je ne trouve pas que cela puisse être les "sons de l'enfer" dans son sens propre et archétype, je reste encore incroyablement sceptique, là-dessus. On retrouve le même son dans un magasinage des fêtes, avec une foule absurde de milliers de personnes qui achètent des cadeaux, dans un Toys R Us . Or, on ne peut s'imaginer à quel point les gens seront prêts, afin de nous faire avaler béatement n'importe quelle fumisterie. Ça peut être un trucage, comme ça ne pourrait l'être, on n'en sait trop rien. Mais la prise de son recèle un contexte assez particulier. Un spéléologue, le

Critique musicale- 99 Luftballons de Nena

J'ai décidé de mettre sur le blogue, un vidéoclip de Nena, de la fameuse chanson Europop , ou tout simplement musique pop "99 Luftballons". Une chanson qui fut écrite bien sur, durant les années 80, en 1988 plus particulièrement pour illustrer la réaction du compositeur Carlos Karges (le guitariste de la chanteuse Nena à cet effet) à une envolée de ballons rouges qui se poussait le plus possible vers l'horizon. Tout ceci se produisait lorsque le guitariste était dans un concert des Rolling Stones, alors qu’il vivait toujours au sein de la partie gauche de la capitale allemande Berlin Ouest. Cela raisonnablement lui inspira une chanson qui est devenu par la suite un hymne moderne pour les Allemands sur la tyrannie du communisme. Une chanson produite durant la Guerre Froide en plein milieu des années 80, où tout le monde devait vivre le communisme de l’Union soviétique. Certes, cela sectionna la ville de Berlin en deux avec son fameux mur. C’est toujours mieux d’écoute