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Affichage des messages du mai, 2010

BLUE VELVET

Dennis Hopper 1936-2010 - 31 mai 2010

Premierement, je ne suis pas vraiment bon pour faire des eulogies, mais cela a fait depuis une journée, que l'un de mes héros du cinéma hollywoodien, décida de rendre finalement l'ame. Dennis Hopper, fut sans contredit l'un des plus grands acteurs qui a tout jamais faconné le cinéma hollywoodien. Lui, tout autant qu'une génération de cinéastes pendant les années 70, surnommée le New Hollywood, a voulu changer le visage de la babylone du cinéma. Ils avaient apporté un cinéma nouveau, en s'inspirant de l'esthéthique des cinéastes de la Nouvelle Vague francaise . Hopper par contre, s'est inspiré de l'esthéthique du néo-réalisme italien des grands réalisateurs italiens Luchino Visconti, et Roberto Rosselini. Dennis Hopper fut le pere d' Easy Rider , tout comme il était le pere de trop nombreuses perfomances oscarisés, ou oscarisables. L'énorme génie théatral de Hopper fut indéniable, il était lui-meme le théatre américain et rien de plus, ou probable

Mon drame familial - 30 mai 2010

Une histoire familiale de merde. Si jamais on ne pourrait le croire. Cela s'était produit, voila deux semaines. Au début, ce fut une histoire qui n'avait point besoin de plus d'antécédents, et meme sans grande conséquence. Voila deux semaines, mon frere Jonathan venait d'avoir un accident en voiture, heureusement ce ne fut pas un grave accident. Jonathan n'était pas lui-meme le conducteur, un autre de ses comparses le fut, et je ne sais meme pas son nom. L'ami, en principe, a été encore "chaud" de la veille, c'est-a-dire qu'il avait été, hier au soir largement trop fetard, en ayant bu comme un sale trou. Alors, le matin, des qu'il prit le volant, et que Jonathan fut au coté passager, son copain a freiné d'urgence sur une bicyclette. Le choc soudain du freinage projeta Jonathan vers l'avant en percutant sa tete dans le pare-brise. Heureusement, le pare-brise n'était pas fixé solidement, meme que l'on prétendait que la voiture

Le goudron d'un anti-intellectualisme québécois - 15 mai 2010

La littérature existe depuis la nuit de son temps. Tout comme n'importe quel art, on y distingue la naissance de deux etres : l'artiste et le critique. l'artiste, avec le modicum de ses talents, doit réussir a forger une oeuvre, en puisant dans tout son impulsion, sa soif de vivre et sa passion. Tout ce qui compte dans la rage de son auteur, est qu'il soit capable de concevoir une oeuvre finie qui va soit émouvoir ou illuminer son sujet-lecteur, auquel son travail va lui etre adressé. Son lecteur absorbera tout le génie refoulé et incompris, recelé dans l'ouvrage littéraire. Plus que livre sera une brique et non une plaquette, plus que la curiosité intellectuelle de la personne voudra manger la dite brique, jusqu'a sa toute fin. La littérature fonctionne comme cela, ni plus ni moins : cela semble bien simple non ? Bref, peut-etre un peu trop simple. Il y a l'auteur, ensuite il y a son lecteur. Or, dans son lectorat ( le public de lecteurs ), il existe certes